tag:blogger.com,1999:blog-68620142971926027442024-03-13T10:38:52.196+01:00Les errances d'AmandineÉmois, rougissement et autres errances...Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.comBlogger431125truetag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-13641462811355489802018-01-07T00:01:00.000+01:002018-01-07T00:01:23.891+01:00Jeux Pourpres (2)<div style="text-align: justify;">
<i>Je reprends ce récit après de longs mois d’absence. <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2017/05/jeux-pourpres.html">La première partie est ici</a>. Pour ce qui est de cette deuxième partie, le temps a sans doute effacé bien des détails. Voilà ce qui est resté gravé dans ma mémoire de ce drôle de jour de mai...</i><br />
<i><br />
</i> <br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjP17qtiri2zMfHPM8SqOa8Y3X0vhJOlDz9UN6tinaJCfBKcAGZXVS9K_fO-NLrkASYVLsynjw7mN-BzocJdM5qH7P8A2N0AknPF4VmL2g3JZuxhHEbI60fqzyQ2gUNmu2mwxPvaZBbLxY/s1600/pourpre.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1024" data-original-width="1024" height="440" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjP17qtiri2zMfHPM8SqOa8Y3X0vhJOlDz9UN6tinaJCfBKcAGZXVS9K_fO-NLrkASYVLsynjw7mN-BzocJdM5qH7P8A2N0AknPF4VmL2g3JZuxhHEbI60fqzyQ2gUNmu2mwxPvaZBbLxY/s400/pourpre.jpg" width="440" /></a></div>
<i><br />
</i></div>
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Nous avancions vers l’appartement et chaque pas était de plus en plus mal assuré. Plus personne ne parlait. Chacun semblait un peu gêné. Ou peut-être n'était-ce que moi ? </div>
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<br /></div>
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Catherine et Pollux nous attendaient dans le hall. Catherine nous accueillit chaleureusement. Il se dégageait d'elle énormément de bienveillance et de douceur, ce qui était très réconfortant.</div>
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<br /></div>
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Pollux resta plus en réserve. Je crois qu’il était déjà en "mode jeu". Il paraissait sévère et m’impressionna un peu. John m’avait dit qu’il était un Maître (au sens BSDSM, bien sûr) et ce n'était peut-être tout simplement que cela qui me faisait un peu peur. Prednait-il le jeu au sérieux ? Il semblait le vouloir, en tout cas, et demanda aux hommes de le suivre à l’appartement pour préparer le conseil de discipline qui nous attendait. Mes compagnes de jeu m’informèrent alors que nous étions des collégiennes convoquées en conseil de discipline pour un obscur vol de chocolat. Elles s’étaient préparées au jeu en revêtissant des jupes écossaises. Cela me laissa un peu perplexe. Les jeux scolaires ne font absolument pas partie de mes fantasmes et je me demandais bien comment j’allais réagir dans un tel contexte. Allais-je réussir à entrer dans ce jeu-là ? Plus les minutes passaient, plus j’en doutais.</div>
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<br /></div>
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C’est alors que Pollux nous appela et nous fit entrer dans l’appartement qui, surprise, avait été réaménagé pour la scène que nous devions y jouer. Tous les meubles avaient été repoussés. Seuls subsistaient une grande table et un canapé qui se faisaient face.</div>
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<br /></div>
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Pollux se présenta comme le directeur de l’établissement, John en était le directeur des études et Walter un professeur. Ils nous ordonnèrent de nous asseoir les unes à côté des autres sur le canapé, tandis que les trois membres de ce drôle de corps enseignant nous regardaient sévèrement, assis à l’autre bout de la pièce, autour de la table. Le grief fut exposé, la disparition d’une boite de chocolat en salle des professeurs, auxquel je répondis qu’en cette période, il était de coutume de manger des chocolats et que l’on ne pouvait le reprocher à quiconque. Comme attendu après pareille tirade, je me retrouvais aussitôt convoquée devant la table des professeurs et, quelques questions et mauvaises réponses plus tard, allongée sur les genoux de John qui commença à me fesser sur ma robe. C’était une chose entendue entre nous. Je devais être fessée la première, je le lui avais demandé pour ne pas me sentir mal-à-l’aise et intimidée devant mes camarades de jeu qui, à l’inverse de moi, se connaissaient déjà. Une fois la première fessée reçue, la glace serait forcément rompue… </div>
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<br /></div>
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D'un naturel prudent, j’avais revêtu ce jour-là ma "robe à fessée", une robe en tissu un peu élastique et très épais qui possède la propriété épatante d’absorber à peu près tous les coups, quelle que soit leur force. Autant vous dire que je ne sentais absolument rien de la fessée qu'était en train de m'administrer John, ce qui ne m’empêchait pas de protester véhément, comme toute personne convaincue de son innocence se doit de le faire. Lorsque John voulu passer aux choses sérieuses et releva ma jupe, mes protestations redoublèrent, ce qui eu l’effet surprenant de stopper net la manœuvre. Je me retrouvais au coin, mi amusée, mi frustrée, tandis que mes camarades de jeu rejoignaient les genoux de leurs compagnons respectifs pour une première petite séance d’échauffement.</div>
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<br /></div>
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Nez au mur, je ne percevais pas grand-chose de ce qu’il se passait dans mon dos. J’avais été surprise et émue de la réaction de John. Nous n’avions jamais discuté de la manière dont nous vivions la fessée, il ne pouvait donc pas savoir que j’adorais protester... et que j’adorais encore plus que l’on ne tienne aucun compte de mes protestations. Il ne voulait pas me brusquer et c'était tout à son honneur dans un milieu où beaucoup trop d'hommes vivent leur fantasme sans se préoccuper de leur partenaire.</div>
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<br /></div>
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Lorsque les filles me rejoignirent au coin, l’atmosphère commença à se détendre un peu. Sylvie, coquine, m’accusait ouvertement du délit. Je contestais la chose de toutes mes forces, bien entendu. Si d’aucuns pensent que le coin est un lieu de méditation, notre spectacle prouvait qu’il n’en était rien ! </div>
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<br /></div>
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J’étais la seule à ne pas être encore déculottée. Walter s'en amusa et me demanda de relever ma robe, ce que je refusais de faire Je m’attendais à ce que quelqu’un vienne et me la relève de force en m’assénant quelques claques bien méritées, mais il n'en fut rien. Jusqu’où fallait-il que je pousse la provocation pour que quelqu'un se décide enfin à prendre le dessus sur moi ? Allais-je pouvoir ressentir ce frisson-là ?</div>
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<br /></div>
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Les hommes décidèrent que la fessée devait reprendre et c’est sur les genoux de Pollux que je me retrouvais allongée. J’ai beaucoup aimé ce moment-là. J’étais plus détendue que lors de ma première fessée, et, ma robe faisant toujours puissamment écran, je ne sentais qu’à peine la fessée. Pollux me demandait parfois, en chuchotant à mon oreille, si tout allait bien... et oui, j'étais vraiment bien. Plus le temps passait, plus je me détendais… Quand soudain Pollux tenta lui aussi de relever ma robe. Je protestais à nouveau. C'était absurde, je mourrais d'envie de la sentir, cette fessée, mais protester semblait plus fort que moi. Dépitée, je fis mine de relever moi-même le pan de ma robe et Pollux en profita pour baisser ma culotte d'un même mouvement. Au moins, ce serait fait ! La fessée reprit... et je la sentie passer ! </div>
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<br /></div>
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Nous sommes retournées au coin, les fesses rougies. Chacun commentait sur qui avait les fesses les plus rouges. Tout le monde riait. L’atmosphère était enfin complètement détendue et chacun s’amusait. </div>
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<br /></div>
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Catherine nous avait préparé des rafraîchissements qui furent les bienvenus. La fessée donne chaud et soif. Nous nous taquinions tout en les savourant. </div>
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La fessée pouvait alors reprendre pour un troisième round... </div>
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Je fus invitée à m’allonger sur les genoux de Walter, qui était incontestablement le plus coquin de tous. Il s’empara d’une canette de soda qui sortait du frigo et doucement me caressa les fesses avec. Cette fraîcheur étalées sur mes chaires brûlantes était divine. Parfois l’objet s’égarait dans une moiteur plus intime... C'est dans ce nuage de douceur qu’il attaqua la fessée. Un choc ! Walter était censé être le candide de l’histoire, le "vanille" que sa compagne initiait au jeu ce jour-là, mais ses fessées étaient incroyablement fortes et nourries. A tel point que je m’écriais sans y réfléchir "Mais ce n’est pas du jeu ! Vous n’avez pas le droit de me fesser à plusieurs !". Tout le monde a pouffé, mais, et il fallait bien s’y attendre, mon vœux fut aussitôt exaucé ! Le déluge qui s'abattit sur mes fesses à ce moment-là était si intense que je sombrais très rapidement dans cet état quasi post-orgasmique que l’on ressent lorsqu'on lâche prise. </div>
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<br /></div>
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Le temps de retrouver mes esprits, John me reprit en main. John est d'un très grand calme, probablement inébranlable. Comme j’avais repris un peu de force, j’essayais de le taquiner, de le provoquer. De la position où je me trouvais, je lui enlevais ses chaussures pour les jeter au loin. Mais rien ne semblait vouloir le faire dévier du chemin qu’il s’était fixé : me donner la bonne déculottée que je lui avais refusée au départ... et c’est avec délice que je la reçue. </div>
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<br /></div>
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Catherine et Pollux avaient apporté de nombreux instruments que, pour la plupart, je n’avais encore jamais vu. Il y avait notamment un tawse, un chat à neuf queues, terrible, et une sorte de padle en cuir mais très souple qui, dans les mains de Pollux, était particulièrement redoutable. Je leur demandais si nous pouvions les essayer. J’étais intrépide et me sentais invincible. Je faisais rire Pollux quand les coups qu’il me donnait me projetaient sur la pointe des pieds. J’inquiétais Sylvie qui pensait que le jeu allait peut-être, à ce moment-là, un peu trop loin.</div>
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<br /></div>
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John est alors revenu vers moi. Je lui ai demandé de me fesser avec sa ceinture, ce qu’il fit avec une délicieuse maîtrise. Il m’a doucement calmé. Il était temps, mes fesses avaient reçu amplement leur compte ! </div>
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<br /></div>
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Nous avons fini l’après-midi à discuter, de nous, de notre travail, de choses et d’autres comme n’importe quels amis feraient. Nous continuions à rire et à nous taquiner mais il n’était plus question de relancer le jeu, nous étions beaucoup trop fatigués pur cela. Nous étions heureux d’être ensemble, un peu étonnés aussi de tout ce que nous venions de vivre.</div>
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<br /></div>
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John et moi sommes partis les premiers. J’avais un train à prendre et lui des obligations familiales. Nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir. Mais cela est une autre histoire...</div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com33tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-39454194581015161082018-01-02T22:14:00.001+01:002018-01-03T00:44:16.928+01:00La clairière au soleil<div style="text-align: justify;">
Pour fêter la réouverture du blog, un magnifique poème offert par Paul Auster. </div>
<div style="text-align: justify;">
Un grand merci ému...</div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbs1LjjTpqoyE2Mw063u03ht2hFb-hXw6qPJWYBI7yESzKNTuh5eg6g-1u5i4JK0fWO0SX9AVZGKkbEu2sZPDVbx_M5uleCTF0iHLwipY9BryIADcBIztFGHouR6syBPsrmCxJrqIMkwE/s1600/coeur+oiseaux.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="846" data-original-width="476" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbs1LjjTpqoyE2Mw063u03ht2hFb-hXw6qPJWYBI7yESzKNTuh5eg6g-1u5i4JK0fWO0SX9AVZGKkbEu2sZPDVbx_M5uleCTF0iHLwipY9BryIADcBIztFGHouR6syBPsrmCxJrqIMkwE/s400/coeur+oiseaux.jpg" width="441" /></a></div>
<br />
<span style="color: #741b47; font-size: large;"><div style="text-align: center;">
Les herbes se sont redressées</div>
<div style="text-align: center;">
Du petit herbage odorant</div>
<div style="text-align: center;">
Où, toute nue, je t'ai fessée</div>
<div style="text-align: center;">
Comme à ton désir, fermement !</div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
J'aimais le contraste étonnant </div>
<div style="text-align: center;">
De toutes tes joues bien rosies </div>
<div style="text-align: center;">
Et de la mousse ou maintenant </div>
<div style="text-align: center;">
Posaient tes fesses endolories. </div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Seuls les oiseaux témoigneront </div>
<div style="text-align: center;">
Des fols baisers que cette flamme </div>
<div style="text-align: center;">
Inspira, et de l'abandon </div>
<div style="text-align: center;">
Des amants qui s'offrent leur âme. </div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Et chaque fois que, seulement, </div>
<div style="text-align: center;">
Je me promène à la clairière </div>
<div style="text-align: center;">
Me revient l'émoi souriant </div>
<div style="text-align: center;">
De tes yeux... et de ton derrière ! </div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Que nos joies étaient souveraines </div>
<div style="text-align: center;">
Et nos jeunes sens affolants </div>
<div style="text-align: center;">
Quand la passion était reine </div>
<div style="text-align: center;">
Nous allions, plaisirs dévorant. </div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Revenez, amante égarée, </div>
<div style="text-align: center;">
Vous promener dans mon sous bois </div>
<div style="text-align: center;">
Où tendrement nous sommes aimés </div>
<div style="text-align: center;">
L'herbe fraîche nous tend les bras </div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
Et il flotte encore sur mes lèvres </div>
<div style="text-align: center;">
Les mots que je vous murmurais </div>
<div style="text-align: center;">
Pour faire durer cette fièvre </div>
<div style="text-align: center;">
D'amour qui vous transfigurait. </div>
</span><div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
</div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com30tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-67582949281021144632018-01-01T18:43:00.001+01:002018-01-01T18:43:13.937+01:00Heureuse nouvelle année !<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_r4mBVFMTejz3IKQ2RIhzHi42IgdcdFn8YI00YtANpNW2iViukOiHTe1kw_-RgO-CblwS4CAIpfi7HY4hlLNhsPXA1uKytZd8fiFnIyQWbiWupxPLWQkZeW_py7FxTYwH2T2-XZ2luv0/s1600/Bonne+ann%25C3%25A9e+2018+b.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="240" data-original-width="480" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_r4mBVFMTejz3IKQ2RIhzHi42IgdcdFn8YI00YtANpNW2iViukOiHTe1kw_-RgO-CblwS4CAIpfi7HY4hlLNhsPXA1uKytZd8fiFnIyQWbiWupxPLWQkZeW_py7FxTYwH2T2-XZ2luv0/s400/Bonne+ann%25C3%25A9e+2018+b.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<h4 style="text-align: center;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: large;">L'heure est venue de vous souhaiter à tous </span></h4>
<h4 style="text-align: center;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: large;">une très belle nouvelle année !</span></h4>
<div>
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: large;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Une fois n'est pas coutume, j'ai pris de nouvelles résolutions cette année. </span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">La première est de reprendre enfin l'écriture de ce blog...</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Ma vie a été très intense en 2017, ne laissant guère de place, ni à l'écriture, ni même à la pratique de la fessée. L'envie s'était faite autre et j'en étais sereine.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Mais la magie de Noël a une fois de plus opéré. La période était propice. Une rencontre, des mots, une allusion, la tendresse, la bienveillance et la persévérance d'un homme m'ont donné l'envie de replonger. J'ignore s'il sera le nouveau héros de ce blog, s'il sera le seul ou s'ils seront plusieurs, mais je lui dois ce petit pétillement au fond de moi que je n'avais plus senti depuis bien longtemps et qui, je l'avoue, me rend profondément heureuse.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Ma deuxième bonne résolution est d'essayer d'un peu moins travailler cette année, sinon la première risque d'échouer lamentablement. Monsieur y veillera, j'en suis certaine. Il a déjà essayé, mais je ne suis pas si docile... Il faut absolument que j'y parvienne, pourtant.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">La troisième résolution est de me refamiliariser avec Blogger. C'est fou, je m'absente à peine quelques mois et tout est changé! A vrai dire, c'est peut-être moi qui ai un peu oublié.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Il y a plein d'autres résolutions qui recouvrent les pages d'un carnet, mais celles-ci sont secrètes pour le moment. Vous les découvrirez sans doute au fil de mes récits.</span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="color: #741b47; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"> </span></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-55516759110433757342017-05-21T23:56:00.001+02:002018-01-06T20:47:23.412+01:00Jeux pourpres (1)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAIj9lBgUL05XZ5c7YVVjN4F0sUKWrbxmbkrSl7PjrSMxb8kIb1tGfZNOvCPGMRQC6vdzc_PM5n78ay52iJFg5Dw319eU_BjQYgIZnZoXYMVHd9w4SsxArUNfFF-JZOLrc_BddnMK_oRA/s1600/jeux+pourpres.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhAIj9lBgUL05XZ5c7YVVjN4F0sUKWrbxmbkrSl7PjrSMxb8kIb1tGfZNOvCPGMRQC6vdzc_PM5n78ay52iJFg5Dw319eU_BjQYgIZnZoXYMVHd9w4SsxArUNfFF-JZOLrc_BddnMK_oRA/s400/jeux+pourpres.jpg" width="321" /></a></div>
<br />
<div style="text-align: justify;">
Le fantasme qui m'habite m'offre parfois de merveilleux moments. Celui que je vais vous conter ici fait partie des plus fous, des plus marquants et surtout des plus inattendus qu'il m'ait été donné de vivre. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
C'était il y a un mois, avant que ma vie ne prenne l'un de ces énièmes tournants qui m'amènent si souvent à changer bien des choses. Je ne sais pas si la fessée fera partie de ma nouvelle vie, si j'en aurais encore l'envie <i>(elle se fait très discrète en ce moment)</i>, mais quand je repense à ce dernier épisode, je ne peux m'empêcher de sourire et d'en ressentir un peu du bonheur qui avait soufflé fort ce jour-là. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
John était l'initiateur et le chef d'orchestre de ce moment d'exception. C'est un homme vraiment épatant. Gentil, intelligent, sécurisant et bienveillant, il est de ces gens qui inspirent immédiatement la confiance. Nous nous étions connus sur le site des « Lunes Pourpres » où nous avions parfois échangé quelques mails, mais nous n'avions jamais eu l'occasion de nous rencontrer. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Ce jour-là, il eut l'audace de me proposer quelque chose de totalement nouveau pour moi, quelque chose qui m'aurait sans doute semblé inenvisageable quelques mois auparavant, mais qui, dans l'esprit de renouveau dans lequel je me trouvais alors, ne semblait pas si dissonant : vivre la fessée à plusieurs, mais avec personne que je ne connaisse (<i>mis à part lui, que je ne connaissais qu’à travers quelques écrits</i>). </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Deux choses me laissaient dubitative. Qu'allais-je ressentir à être vue et touchée par de parfaits inconnus ? Et jouer à la fessée hors d'un cadre sentimental allait-il me plaire? N'allais-je pas trouver cela un peu fade et artificiel ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En réponse à ma première interrogation, <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2017/04/un-apres-midi-cris-et-chuchotements.html" target="_blank">mon aventure chez Cris et Chuchotement</a> m'a rassurée. J’ai trouvé plutôt agréable et amusant d’être vue par de parfaits inconnus, et je crois que cela ne m'aurait pas déplu s’ils avaient voulu participer un peu à l’action, sous réserve que j'en garde le contrôle, bien entendu. Je n'avais donc pas à m'inquiéter sur ce point.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Il ne restait plus que l'aspect humain et sentimental. Le courant allait-il passer avec mes camarades de jeu ? Allais-je réussir à dissocier la fessée de son aspect sentimental qui m'est d'ordinaire si cher ? Tout déprendrait des gens que je rencontrerai, et sur ce point John eu à cœur de me rassurer. Il me téléphona à plusieurs reprises, pour m'expliquer un peu de ce qui était prévu mais surtout pour me rassurer sur les personnes qui allaient partager notre aventure. Et dans ces personnes, il y avait précisément Catherine et Sylvie, les deux femmes qui allaient être fessées avec moi et qui entreprirent elles aussi de me rassurer. C'est très rare que je puisse discuter avec des femmes qui partagent le même fantasme que moi, d'habitude ce sont plutôt des hommes qui m'écrivent, et Catherine et Sylvie ont été d'une immense gentillesse, douceur et bienveillance à mon égard ! Rendez-vous fut donc pris car non seulement je n'avais plus la moindre raison d'hésiter, mais j’étais surtout très impatiente de connaître John, Catherine et Sylvie dans la vraie vie !</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Nous devions nous rencontrer à Montmartre, où Catherine et son compagnon Pollux avaient réservé l'appartement qui abriterait nos jeux. Je devais y retrouver John vers 14h. Sylvie et son compagnon Walter devaient également nous y rejoindre afin que nous fassions connaissance avant notre entrée en scène. Catherine et Pollux avaient des obligations professionnelles et devaient nous rejoindre un peu plus tard. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Comme à mon habitude, j'arrivais en avance (<i>jamais je ne serai fessée pour être arrivée en retard à un rendez-vous !</i>) et en profitais pour faire un petit tour dans le quartier et m'y remémorer avec nostalgie quelques beaux souvenirs que j'en avais gardé. </div>
<div style="text-align: justify;">
A l’heure dite, je me trouvais devant le théâtre qui jouxtait le lieu de notre rendez-vous, et attendais, de moins en moins sûre de moi. Mon téléphone se mit à vibrer alors que le Monsieur fort élégant qui se trouvait à côté de moi jouait avec le sien. Nous nous sommes souris, puis embrassés. C'était John, visiblement tout aussi impressionné que moi. Il portait un costume. Avait-il lu que cela faisait partie de mes fantasmes ? Peut-être pas, puisqu'il ne portait pas de cravate. Mais qui porte encore une cravate de nos jours ?<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Le sentiment qui m'habitait à la découverte de John était assez étrange. En fait, John est exactement le type de personne que je pourrais côtoyer au travail, nous avons d’ailleurs des activités professionnelles très proches. C’était tout à la fois rassurant et un peu perturbant car je n’arrivais pas à me mettre en mode "jeu". Valérie avait tendance à prendre le pas sur Amandine, ce qu’il ne fallait surtout pas !<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Heureusement arrivèrent, quelques minutes plus tard, Sylvie et Walter. Sylvie est une femme très belle, très douce, souriante avec ce rien de timidité qui la rend vraiment craquante. Elle a un corps magnifique, absolument parfait, mais cela je le découvrirai plus tard...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
Walter, c'est mon petit frère, il parle et rit tout le temps ! Il nous a mis tout de suite tous très à l’aise. Il semblait ravi de cette aventure, même s’il ne savait pas vraiment en quoi elle allait consister. Car, je l’apprenais à cet instant, le grand organisateur de l'événement, c'était Pollux! </div>
<div style="text-align: justify;">
D'après ce que racontaient Walter et John, il leur avait posé tout un tas de question pour s’assurer de répondre aux attentes de chacun et chacune. Une telle organisation m'a un peu fait peur. J’ai toujours joué en improvisant. Serais-je capable de suivre les directives d'un metteur en scène ?<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je suppliais John et Walter de ne pas jouer trop sérieusement, mais ils me répondaient qu'ils ne savaient pas exactement comment cela allait se passer, que c'était Pollux qui détenait les règles du jeu et qui les brieferait avant que nous ne soyons autorisées à entrer en scène. Je n’étais pas vraiment inquiète car je savais que John aurait à cœur de satisfaire mes goûts et mes envies, qu'il avait pris soin de connaitre en détail, et Walter nous faisait tellement rire que je ne l’imaginais pas un instant tenir dans une mise en scène sévère et austère. Mais lorsque nous primes le chemin de l'appartement, ma belle assurance s'évapora aussi vite que mon cœur battait, même si je faisais de mon mieux pour ne rien en laisser paraître.</div>
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<br /></div>
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(à suivre)</div>
<br />Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com30tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-79180046290374687022017-05-03T22:33:00.000+02:002017-05-04T22:13:18.671+02:00Un ami formidable<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>Un après-midi à Cris et Chuchotements, vu à contre-champ.</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3e5x9OYKfkioFnbGqpwGNbXIQrpeQSObvjR_EPwg6e8pJZvTFUKMVWir90pE3SdJOWRY1a0JhOdn7gIqnr6t7npVXYjxyWxO96VUGyRqG-R2GrDoBnZvr9bg0-f1Ctz7tHz-AmapR36U/s1600/1d15.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3e5x9OYKfkioFnbGqpwGNbXIQrpeQSObvjR_EPwg6e8pJZvTFUKMVWir90pE3SdJOWRY1a0JhOdn7gIqnr6t7npVXYjxyWxO96VUGyRqG-R2GrDoBnZvr9bg0-f1Ctz7tHz-AmapR36U/s400/1d15.jpg" width="351" /></a></div>
<br />
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J'y suis allé à reculons. Pour lui faire plaisir. Car à peine arrivés, j'avais une envie furieuse de repartir. Rien n'allait, ni l'endroit, ni le public. Rien ! </div>
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<br /></div>
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Alors ça m'a rendu de fort mauvaise humeur. Furieux et bougon. Elle ne pouvait que s'en rendre compte. Si je me suis gravement forcé à rester là, c'est pour elle, parce qu'elle en avait VRAIMENT envie. Amplement mérité je dois dire.</div>
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<br /></div>
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Alors on a trouvé un petit coin désert. Une sorte de boudoir anglais, assez sombre tout au fond d'un couloir et à moitié dissimulé. C'est là que je lui ai flanqué la fessée. Moi, dos à la porte. Et elle face à moi, sans atermoiements, sa culotte bien vite abaissée. Toute de suite donc, les fesses se sont retrouvées nues. Et peu importe qu'elles soient un peu meurtries de la veille. J'ai pris deux ou trois instruments ramassés à coté du bar. Elle manifestement émoustillée par mon choix. </div>
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<br /></div>
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Et puis très vite j'ai senti des ombres dans mon dos sans en percevoir le nombre. Juste un souffle collectif, une discrète présence. Elle, le regard tourné vers l'ouverture qui donnait accès à la chambre du supplice, en apercevait parfaitement le nombre, des visages inconnus. A genoux, le buste posé sur les miens, face au public, elle a reçu la fessée sans que sa pudeur eut trop à en souffrir. Une bonne grosse fessée à l'intimité préservée, main et cravache œuvrant à tour de rôle. Ses gémissements, signe du cocktail réussi, un zeste de douleur et bien du plaisir, l'ont délivré de ce pourquoi elle avait désiré venir là. Et moi, ils m'ont délivré de ma méchante humeur. Je l'en remercie. Puis tous deux détendus on a finalement bavardé tranquillement avec les quelques personnes présentes.</div>
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<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com9tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-74883865714182303882017-04-24T18:00:00.000+02:002017-04-24T18:00:13.135+02:00Un après-midi à Cris et Chuchotements<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYoIb8wJHB51hySkWXlU2YKQ8exoEYJUJR9MC3ike018MlXHenF_utopL_NksBdsx-0sdoonRxpnGOiH0bbgAEHR2buBddy5yoWd-Hrutp-iG05iPpYQGdVlS5AqysAa78zR0t63ONavY/s1600/tumblr_nple60nziQ1t7chr3o1_500.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYoIb8wJHB51hySkWXlU2YKQ8exoEYJUJR9MC3ike018MlXHenF_utopL_NksBdsx-0sdoonRxpnGOiH0bbgAEHR2buBddy5yoWd-Hrutp-iG05iPpYQGdVlS5AqysAa78zR0t63ONavY/s400/tumblr_nple60nziQ1t7chr3o1_500.jpg" width="300" /></a></div>
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Cela faisait longtemps que j'avais envie de participer aux "50 nuances de Cris" du célèbre club BDSM parisien, Cris et Chuchotements, et c'est avec joie que je m'y suis rendue en ce jour de vendredi saint. Pas pour m'y faire crucifier sur une croix de Saint-André, rassurez-vous ! J'avais l'espoir de m'y amuser et découvrir de nouvelles sensations et émotions. Contrat rempli, amplement !<br />
<br /></div>
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Pour ceux qui ne connaissent pas, une petite présentation s'impose. C'est un lieu un peu bizarre pour toute personne qui, comme moi, est étrangère au monde du BDSM, mais très sympa. Enfin c'est surtout Pascal, le maître des lieux, qui est très sympa ! Il vous accueille vraiment très gentiment, simplement, chaleureusement. Pour les novices, il prend le temps de tout expliquer et de présenter les lieux de manière à ce que l'acclimatation se fasse toute en douceur.<br />
<br />
La première salle dans laquelle vous entrez est très cosy, une sorte de salon tout de rouge et d'or, où se trouve le bar... et tout un tas d'instruments à disposition de la clientèle. Un véritable trésor ! </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQrRtdQRjzxq3-cc2FR00X8WFHhnRjpUnnGcJ9ZdE0AU9eVBcTN6e668jLxtfwJKGX9oRAXRBkofx5f9oool3ZA4E0l904hL_QNo8uSL4ouQfeawbqhNeUTJ84zYRDxsST7vz2OhEvUhQ/s1600/cris+et+chuchotement+-+bar+2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="252" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQrRtdQRjzxq3-cc2FR00X8WFHhnRjpUnnGcJ9ZdE0AU9eVBcTN6e668jLxtfwJKGX9oRAXRBkofx5f9oool3ZA4E0l904hL_QNo8uSL4ouQfeawbqhNeUTJ84zYRDxsST7vz2OhEvUhQ/s400/cris+et+chuchotement+-+bar+2.jpg" width="400" /></a></div>
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En dehors de cette salle, le lieu est constitué de tout un dédale de petites pièces à thématiques variées.</div>
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<br /></div>
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Je crois qu'il existe aussi une grande salle, mais elle doit sans doute être réservée aux soirées. </div>
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<br /></div>
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Autant vous l'avouer, je n'étais pas particulièrement attirée par les thématiques proposées, mais j'ai tout de même trouvé mon bonheur dans un petit salon anglais qui convenait parfaitement à ma fantaisie. </div>
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<br /></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-lRvQbjBKPBBitfGZZi4KI4kJkigcc9mgFNoEWOP0wiinpsu5viBp9OP6OczOKkA6lnLRYcmMIwzDSWD7_KbzkKF47-m5XtIz9Ye9lGJJ1vxk7fMscTNEoBxbgWcuql-ft-a9mOjiJ6Y/s1600/cris+et+chuchotements+-salon+anglais.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-lRvQbjBKPBBitfGZZi4KI4kJkigcc9mgFNoEWOP0wiinpsu5viBp9OP6OczOKkA6lnLRYcmMIwzDSWD7_KbzkKF47-m5XtIz9Ye9lGJJ1vxk7fMscTNEoBxbgWcuql-ft-a9mOjiJ6Y/s320/cris+et+chuchotements+-salon+anglais.jpg" width="320" /></a></div>
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<br /></div>
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Nous y avons joué longuement et j'en suis ressortie les fesses en feu... et couvertes de bleus! Parce qu'il faut le comprendre, ce lieu est tellement extravagant et éloigné de toute réalité que l'on ne peut que se laisser glisser entièrement dans le jeu, en oubliant toute inhibition et forcément en dépassant (un peu) ses limites habituelles. C'est tout l'intérêt de ce genre de lieux, mais c'est aussi la raison pour laquelle il vaut mieux y aller avec un partenaire qui vous connait bien et saura vous imposer les limites qu'il convient.<br />
<br />
Une autre bizarrerie du lieu, ce sont les "hommes seuls", ceux qui ne viennent pas accompagnés. Au début, ils nous ont mis un peu mal-à-l'aise parce qu'ils nous suivaient partout en affichant un visage parfaitement impassible et sans dire le moindre mot. Je crois, mais n'en suis pas sûre, que c'est la règle, que les hommes qui viennent seuls dans les donjons peuvent regarder mais ne doivent pas interférer avec les couples qui jouent. Du coup, cela crée une ambiance bizarre et assez froide, qui nous a personnellement un peu dérangés, du moins au début, parce qu'une fois dans le jeu, on oublie presque tout de l'environnement! Et je dois l'avouer, j'ai trouvé cela très excitant et amusant d'être regardée, d'autant plus que mon ami avait eu la prévenance de choisir des positions où lui seul profitait de mon intimité, les spectateurs ne pouvant guère voir que ses gestes et mes réactions. Cela n'avait donc rien d'impudique, du moins dans mon esprit, et j'ai éprouvé, à ce petit jeu d'exhibition soft, un grand plaisir !<br />
<br />
Une fois que nous avons fini de jouer, nous sommes retournés dans la grande salle du bar où nous avons pris un verre et fait la connaissance des autres participants, avec qui nous avons eu grand plaisir à discuter. Et c'est là encore une des grandes qualités de ce lieu que de pouvoir y rencontrer d'autres personnes qui partagent la même passion et avec qui on peut, si on le souhaite, discuter librement et passer un moment très convivial.<br />
<br />
Vous l'aurez compris, j'ai passé un après-midi vraiment très agréable chez Cris et Chuchotements et y retournerai volontiers, en après-midi ou en soirée. Pascal m'a d'ailleurs dit qu'il prévoyait une soirée "spéciale fessée" dans le courant du mois de mai. Ce sera un jeudi soir, <a href="http://cris-et-chuchotements.com/" target="_blank">la date exacte sera prochainement précisée sur le site</a>. J'adorerais y participer, mais le jeudi soir n'est guère commode pour qui travaille en province, loin de la capitale. Mais si jamais j'ai la chance d'y aller, nul doute que vous en entendrez parler, ici même ! :-)<br />
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com15tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-24248871798808141252017-03-31T12:30:00.000+02:002017-03-31T12:30:06.181+02:00Souvenirs de vacances<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2U6np6rq31c-SwYmNx8RuNEAA_7x0B1K7N7ha1SconDrEEAsowyFj2fwguSKtAk8Z_fC0JChvQH4UEyK0O78juaXjVPTKRIKtU8MNNLZmWrI5qrbOPerxfFwu5XXezAXcWh0n8IJ9Zy0/s1600/cercle+amoureux.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2U6np6rq31c-SwYmNx8RuNEAA_7x0B1K7N7ha1SconDrEEAsowyFj2fwguSKtAk8Z_fC0JChvQH4UEyK0O78juaXjVPTKRIKtU8MNNLZmWrI5qrbOPerxfFwu5XXezAXcWh0n8IJ9Zy0/s400/cercle+amoureux.jpg" width="400" /></a></div>
<br />
S'il y a bien une chose que je déteste, ce sont ces séances où mes amis me montrent leurs photos ou films de vacances. Il n'y a rien de plus assommant ! Comment voulez-vous être intéressé, touché, ému par quelque chose que vous n'avez pas vécu et qui n'a aucune signification pour vous ? Mais pour eux, cela en a une, forcément, et l'exercice dure toujours un temps qui me parait infini et que je ne sais comment interrompre sans risquer de vexer ces personnes qui me sont chères.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais ça, c'est parce que je ne connais pas ce jeune couple ! Si j'avais des amis comme eux, je me précipiterai dès leur retour pour voir leurs films de vacances... et croyez-moi, jamais je n'interromprai la séance !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Une croisière dans les caraïbes...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Une petite escapade sur la côte...<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br />
Une ballade en forêt...<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
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Si comme moi, vous aimez les vidéos simples et naturelles de ce très joli couple, <a href="http://www.spankingtube.com/user/FLApaddler/videos" target="_blank">vous pourrez en trouver beaucoup d'autres ici.</a><br />
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Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com9tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-59152518952388704062017-03-28T19:28:00.000+02:002017-03-28T19:28:40.079+02:00La légende de Whipping Tom<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvnSN_R5pec3Bz1UOO9hPH4gYIHxMnuMZgPXrP5TeGTd2X33YX_bVRpy5FrCEpNXEQ7hZwApJb7gyI6_4Tg0dm_KjIQ-GtJiTCD8BoUqgTag7X7iKW9hToFOnRwYzQGvtkK6B-Ru-s23k/s1600/whipping+tom.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="284" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvnSN_R5pec3Bz1UOO9hPH4gYIHxMnuMZgPXrP5TeGTd2X33YX_bVRpy5FrCEpNXEQ7hZwApJb7gyI6_4Tg0dm_KjIQ-GtJiTCD8BoUqgTag7X7iKW9hToFOnRwYzQGvtkK6B-Ru-s23k/s400/whipping+tom.jpg" width="400" /></a></div>
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Petite histoire dans l'Histoire, les Whipping Tom n'étaient pas des héros de légende mais bien de cruels serial fesseurs qui terrorisèrent Londres aux 17e et 18e siècles. </div>
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On ne sait pas grand chose du premier Whipping Tom qui battit sa célébrité en martyrisant les derrières féminins, si ce n'est qu'il était mentionné comme "l'ennemi des culs de jeunes femmes blancs laiteux", qu'il se faisait un devoir de rougir en l'année 1672. </div>
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Le second Whipping Tom est nettement plus documenté. Il commit ses méfaits en 1681, soit seulement neuf ans après le premier, mais d'après la croyance populaire, ces deux Whipping Tom n'étaient pas la même personne mais ils se connaissaient. Un passage de témoin, en quelque sorte...<br />
<br />
Ce Whipping Tom là avait à cœur de se montrer digne de son prédécesseur et semblait prendre son devoir très au sérieux. Il suivait les femmes qui se trouvaient seules dans les ruelles sombres ou les cours mal éclairées du vieux Londres, se ruaient sur elles, les flanquaient sur ses genoux, soulevait leurs jupes et jupons et s'acharnaient violemment sur leur derrière dénudé.<br />
Son arme de prédilection était sa main, mais il lui arrivait d'utiliser des verges avec lesquelles il blessait sérieusement les pauvres demoiselles.<br />
Une fois son forfait terminé, il s'évanouissait dans la nature en criant "Spanko!", laissant sa victime apeurée et désorientée. Ses attaques se répétaient toutes les nuits, et il s'échappait de la scène si rapidement que les gens lui prêtèrent des pouvoirs surnaturels !<br />
Comme les pouvoirs publics semblaient impuissants à mettre la main sur lui, les londoniens s'organisèrent. A la nuit tombée, les femmes ne sortaient plus qu'en groupes, armées de couteaux. Des hommes s'habillaient en femme pour tenter de leurrer cet effrayant serial fesseur, mais le monstre ne s'y est jamais laissé prendre! Nuit après nuit, il continuait ses forfaits et lorsque les citoyens de garde entendaient rugir le désormais célèbre "Spanko!" et se précipitaient, ils ne trouvaient jamais que la pauvre victime, gisant en pleurs au sol. Whipping Tom avait disparut, plus vite que la lumière...</div>
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A la fin de l'année 1681, deux hommes furent arrêtés et jugés pour ces attaques, un tailleur de Holborn et son ami. Leurs noms, comment ils ont été capturés et l'issue du procès ont été oubliés, nous ne sauront donc jamais si l'un deux étaient vraiment le célèbre Whipping Tom, mais force est de constater que les attaques ont cessé. Si ce n'était pas eux, leur capture a dû convaincre le vrai Whipping Tom qu'il était tant de prendre sa retraite ! Peu importe, les femmes pouvaient à nouveau se promener en toute sécurité dans les rues de Londres à la nuit tombée, et c'est bien là le plus important !</div>
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Mais trente années plus tard, le cauchemar renaissait, non plus à Londres mais dans le petit village de Hackney situé à 5 miles de là. En 1712, Thomas Wallis, qui avait entendu parler des exploits de Whipping Tom et qui venait de se faire éconduire par une donzelle qui avait eu l'outrecuidance de se refuser à lui, décida de rendosser le costume du serial fesseur et de se venger par la même de toutes les femmes... et ainsi sauver l'humanité, car selon ses propres mots, "à moins de battre leur monstrueux orgueil et leur bassesse, l'humanité risquait de tomber sous l'esclavage des femmes". </div>
<div style="text-align: justify;">
<br />Le 10 octobre, donc, Wallis se saisit d'un branche de bouleau et partit à la recherche de sa première victime, une jeune paysanne qu'il trouva dans un champ. Comme son illustre modèle trente ans plus tôt, il l'attrapa, releva ses jupes et la fouetta sévèrement sur ses fesses nues. <br /><br />Mais il ne s'arrêta pas là car il s'était fixé un objectif fort ambitieux : fouetter cent femmes avant Noël ! Il sortit donc, inlassablement, chaque soir, faisant parfois même plusieurs victimes. Fin novembre, il avait déjà fouetté plus de 70 femmes ! <br /><br />Mais il ne réussit jamais à atteindre son objectif. Arrêté début décembre, il avoua rapidement ses crimes et, la justice anglaise ne manquant ni d'humour, ni d'à-propos, passa un an en prison où il fut fouetté chaque semaine... par des femmes.</div>
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<br /></div>
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La légende de Whipping Tom s'arrête là. Depuis plus de trois siècles, plus personne n'a rendossé son costume. Mais la plus grande vigilance s'impose. L'esprit de Whipping Tom pourrait bien renaître, au détour d'un vieux manoir anglais... ou d'un donjon parisien... et si jamais vous entendez crier "Spanko!" derrière vous, une seule consigne ne vaut : planquez vous !!!<br />
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Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com27tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-50809218579671497682017-03-15T17:00:00.000+01:002017-03-15T17:00:08.654+01:00Humeur badine<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbhyx4y1RlRZrJ97NSeXHWAKuApaAYtfl6rsgoCfsgBuTGHuiDclvqtbyGhviFitr3tw-M7NqiOAUu7Dt-47EbL_mY85rBtZpuYaHjwEJBA2A5iaZ_8IqWkNDuGgi4zBtAc7R8W8DQhs4/s1600/humeur+badine+4.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbhyx4y1RlRZrJ97NSeXHWAKuApaAYtfl6rsgoCfsgBuTGHuiDclvqtbyGhviFitr3tw-M7NqiOAUu7Dt-47EbL_mY85rBtZpuYaHjwEJBA2A5iaZ_8IqWkNDuGgi4zBtAc7R8W8DQhs4/s400/humeur+badine+4.jpg" width="306" /></a></div>
<br />
<br />
Il fallait que cette Saint-valentin soit marquante, au moins dans mon esprit...<br />
<br />
"Qu'est-ce que tu veux faire aujourd'hui?" me demanda-t-il dès notre réveil.<br />
<br />
" Je veux aller chez Dèmonia acheter une canne ! "<br />
<br />
Ce n'était pas la plus romantique des idées, j'en conviens, mais cela faisait des années que j'avais envie d'essayer cet instrument, et à ma grande déception, jamais personne ne m'avait fait la surprise d'en apporter une lors de nos rendez-vous cuisants. Ce n'était pas faute d'y faire souvent allusion. Certains de mes partenaires ont même parfois déclaré que la prochaine fois, c'était sûr, j'y aurais droit... Mais que nenni, j'ai toujours été beaucoup trop sage, sans doute, pour la mériter !<br />
<br />
Mais ce jour-là, j'étais bien décidée à prendre mon destin en main et à me procurer, coûte que coûte, ce précieux objet.<br />
<br />
Après avoir traversé à pied et en talons la moitié de la capitale (<i>pensait-il vraiment réussir ainsi à infléchir ma volonté ?</i>), nous sommes arrivés au 6 de l'avenue Jean Aicard. Je vous l'avoue, j'ai eu un petit moment d'hésitation. L'endroit ne me semblait guère accueillant. Je m'attendais à une boutique, une vraie, avec une vitrine, des lumières, des choses rigolotes ou effrayantes à regarder avant d'entrer. Mais Dèmonia, ce n'est pas comme ça ! Nous nous trouvions devant une façade quasi- aveugle, une fenêtre à barreaux et une porte cochère rouge marquée d'un grand "D" juste au-dessus. </div>
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<br /></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeR-adTwfLtVfI9tYV5HTOFRknVEhjZ8MNBudMope5B6NaBfHYGASx46bBC_uuPqLHbd2k6Qrj9O4PHe6YISBincGdCLqyTaelUV77eq4WNizVZwl8D4CLbKREQe-Tha_3Mkke9Wc4hN8/s1600/demonia+3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="283" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeR-adTwfLtVfI9tYV5HTOFRknVEhjZ8MNBudMope5B6NaBfHYGASx46bBC_uuPqLHbd2k6Qrj9O4PHe6YISBincGdCLqyTaelUV77eq4WNizVZwl8D4CLbKREQe-Tha_3Mkke9Wc4hN8/s400/demonia+3.jpg" width="400" /></a></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
J'étais un peu mal-à-l'aise.<br />
<br />
"Tu es sûr que c'est là ?" lui demandais-je, septique<br />
<br />
" Oui, tu vois le "D"..."<br />
<br />
Je me décidais donc à franchir le pas et me retrouvais dans un petit couloir, guère plus accueillant, barré d'un rideau rouge comme dans les sex-shops d'autrefois.<br />
<br /></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvmZnjsGgjC0hXA4Sb2NTTlMk89Da9yRoueFfMkS1MBNrD2dkwP6I_2MmQnZLncVtBX1_ppseMqhL3ZGcs-lk8O5s4zR7gh_vpI03RPQsnnV4UnypUUiVyEpP8M-YqqgV25a-oEhJu3b4/s1600/demonia+4.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="317" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvmZnjsGgjC0hXA4Sb2NTTlMk89Da9yRoueFfMkS1MBNrD2dkwP6I_2MmQnZLncVtBX1_ppseMqhL3ZGcs-lk8O5s4zR7gh_vpI03RPQsnnV4UnypUUiVyEpP8M-YqqgV25a-oEhJu3b4/s400/demonia+4.jpg" width="400" /></a></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
" Tu es déjà venu ici, tu est sûr ?"<br />
<br />
" Mais oui ! Allez, rentre !" </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si j'avais été seule, je ne serais sans doute jamais entrée dans cet endroit, ce qui aurait été fort regrettable puisque derrière ce rideau rouge si peu engageant se cache un magasin très grand et bien éclairé, très agréable, divisé en sections plus ou moins thématiques. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mon ami se précipita sur les tenues en latex, vinyl, ou cuir, dont le choix ici est très impressionnant, tandis que je cherchais avidement les instruments de fessée. Il y a de très jolis modèles de martinet, de cravache, de paddle chez Dèmonia, mais les prix sont globalement assez élevés. Difficile de trouver un martinet ou une cravache à moins de 50 euros, voire beaucoup plus ! Les cannes, elles, sont beaucoup moins chères. Je choisis une badine en rotin de 60 cm de long, légère et très maniable et, parce que forcément on ne peut être raisonnable dans un tel endroit, mon cœur s'est ensuite laissé tenter par un paddle en cuir de Betty Page, magnifique et très agréable à prendre en main ! J'avais hâte de l'essayer pour savoir quelle sensation il pouvait procurer mais un petit écriteau rappelait au client qu'il était interdit de "tester" les instruments dans l'enceinte de la boutique. Il me faudrait donc attendre un peu...<br />
Mon ami, grand amateur de ligotage en tout genre, rajouta une paire de menotte à notre trésor et nous reprîmes notre chemin à travers les rues de la capitale. La badine était trop grande pour tenir dans le sac, aussi je m'amusais avec, à jouer, selon l'imagination de chacun, les chefs d'orchestre ou les dominas. C'est un objet assez grisant à prendre en main, il faut l'essayer pour le comprendre. Mais comme mon ami est d'un naturel plus discret, du moins pour ces choses-là, il ne tarda pas à me confisquer mon nouveau jouet et à le cacher à l'intérieur de son manteau. Je traînais des pieds, du coup, mais quand il a proposé que nous arrêtions chez Concorde pour acheter un petit complément, je retrouvais instantanément forme et vitalité...<br />
<br />
J'exagère un peu. Nous avions parcourus à pied plus de 10 km et j'avais vraiment les pieds en compote. Je lui demandais la grâce de prendre un petit café en terrasse et en profitais pour récupérer ma baguette magique. C'est muni de ce cruel instrument que nous fîmes une entrée remarquée chez Concorde. Il y avait un peu de monde ce jour-là, c'était la saint-Valentin. Une dizaine d'hommes cherchaient dans le rayon des sextoys de quoi amuser leur compagne (<i>C'est bizarre, je n'y ai vu aucune femme, comme quoi le sexe reste encore un domaine principalement géré par les hommes... </i>).<br />
Mais revenons-en à ma baguette, ou plutôt au rosebud que mon ami recherchait. Il n'y en a pas grand choix chez Concorde mais nous en avons quand même trouvé quelques uns dans une vitrine. Comme j'avais la badine en main, je m'amusais à imposer mes choix du bout de ma baguette et, à ma grande surprise, mon ami s'est plié au jeu ! Je choisis donc, pour lui, un rosebud très girly paré d'un cœur rose que j'étais sûre qu'il détesterait et qu'à ma grande stupéfaction, il accepta sans discuter ! Mais une fois l'objet sorti de sa vitrine, je le trouvais finalement vraiment trop laid, et optais pour une pierre pourpre plus classique. Lui ne disait rien, me laissant décider de tout sans n'émettre aucune protestation, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Je me laissais griser au jeu, forcément, et quand j'ai dégainé ma carte de fidélité à la caisse, nulle doute que tous les clients m'ont pris pour une dominatrice professionnelle, ce qui ne manqua de nous amuser tout le long du trajet qu'il nous restait à parcourir pour rejoindre la maison.<br />
<br />
Le soir venu, nous nous sommes empressés de fêter la Saint-Valentin dans sa plus <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2013/02/les-origines-de-la-fete.html" target="_blank">pure et ancienne tradition</a>.<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVkglkCQ6rnNgkUa7qP7xL3VnQKJO7mNExDKFY5qjWE4l3H7jjI9p9Cas-dmxNEZAfJB1avHwGFhTnm3jTMVGJqsa13yF9n7jVDZfRH48ZhjoNI7_Y_nEFKYCuHuscT1FdUuR9zfo19s8/s1600/IMG_0482.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="238" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVkglkCQ6rnNgkUa7qP7xL3VnQKJO7mNExDKFY5qjWE4l3H7jjI9p9Cas-dmxNEZAfJB1avHwGFhTnm3jTMVGJqsa13yF9n7jVDZfRH48ZhjoNI7_Y_nEFKYCuHuscT1FdUuR9zfo19s8/s400/IMG_0482.JPG" width="400" /></a></div>
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Qu'en dire ?<br />
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La canne/badine est très agréable à recevoir, tant qu'elle n'est pas donnée de manière trop cinglante. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus douloureux mais en réalité on peut très facilement en moduler l'effet, par un mouvement du poignet ou de l'ensemble du bras. Des coups cinglants peuvent faire mal, surtout s'ils sont donnés dans le plis des fesses ou le haut des cuisses. Mais pour des coups de force mesurée, la sensation procurée est très agréable, un peu "piquante" à l'impact, mais elle laisse ensuite place à cette douce chaleur que je recherche tout particulièrement dans la fessée.<br />
Ma plus grande surprise tient toutefois au plaisir que l'on ressent à manier l'instrument. La badine chante, vibre, rebondit, fait peur et excite... Elle dessine surtout de très belles lignes rouges, intrigantes, persistantes et fières. La badine est enivrante, à condition, bien sûr, que votre partenaire en ressente tout autant de plaisir que vous !<br />
<br />
Pour ce qui est du paddle de betty Page, je ne peux guère vous en parler si ce n'est redire qu'il est vraiment très beau et très agréable à prendre en main. Il ne fait pas mal, surtout si on utilise sa face arrière capitonnée, et il me semble qu'il faut vraiment y aller de toute ses forces si l'on veut "punir" avec cet instrument. Mais je n'ai guère pu le tester car, à l'inverse de la badine, il est extrêmement bruyant. Il faut être seuls à la maison pour pouvoir s'en servir (<i>ce qui n'était pas notre cas ce jour-là</i>) et inutile de l'emporter dans vos bagages pour une escapade à l'hôtel, vous vous feriez, à coup sûr, immédiatement repérer ! J'espère un jour pouvoir le tester en toute quiétude car c'est un très bel objet et je suis à peu près certaine d'en aimer les sensations. Je vous en dirai plus le jour venu, si tant est qu'il vienne...<br />
<br />
... à la prochaine Saint-Valentin ?<br />
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Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com23tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-22651833373243585452017-02-24T16:16:00.001+01:002017-02-24T16:16:32.070+01:00Scène de ménage (2)- Pourquoi tu ne publies plus sur ton blog ?<br />
- Si, je publie encore, mais en ce moment je n'ai pas trop le temps.<br />
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Quelques jours plus tard,<br />
- T'as vu, j'ai publié.<br />
- J'ai vu, tu t'es pas foulée ! Tu auras la fessée !!!<br />
<br />
Morale de cette histoire (<i>à vous de trouver la bonne</i>)<br />
1. Une Amandine sachant laver sait aussi fesser.<br />
2. Tel est puni qui croyait punir.<br />
3. La canne d'Amandine fait-elle mal ou archi-mal ?<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnrFqrk-6guAWuk7tY0dZp6gV25OaWCfV24Fi9sD3_c4lL0HwgCNqFUcdBQgMgsVnMOADDBnZKO6G2nCq_wGprmqk1YF7oZxMOccsrPzhDVjsg3_xw_mGETICrPyLYl6Cd45Au7g7xEKE/s1600/IMG_0472.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnrFqrk-6guAWuk7tY0dZp6gV25OaWCfV24Fi9sD3_c4lL0HwgCNqFUcdBQgMgsVnMOADDBnZKO6G2nCq_wGprmqk1YF7oZxMOccsrPzhDVjsg3_xw_mGETICrPyLYl6Cd45Au7g7xEKE/s400/IMG_0472.JPG" width="400" /></a></div>
<br />Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com21tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-91437147015858872492017-02-23T20:12:00.000+01:002017-02-23T20:16:19.840+01:00Scène de ménage<div style="text-align: justify;">
La lessive, une corvée que l'on ne peut se permettre de trop retarder au risque de se retrouver sans rien à se mettre... ou bien déculottée, c'est selon.<br />
Franchement, c'est cannant ! </div>
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<div style="text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii-PqN7Zt6pnejb3M9gF2EvTbCRXwOz5zmCq7CoKRuBvZ5x8L0iODl6DUiP-AaKm6YUK_BDQm_8tKq4WH-q7s8ucBH-2d7fQXCnFetP5PsgclhqHWm-fe2nLQCXSNYyn3lrXyLE7dZm2I/s1600/190217+Amandine51.jpeg"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii-PqN7Zt6pnejb3M9gF2EvTbCRXwOz5zmCq7CoKRuBvZ5x8L0iODl6DUiP-AaKm6YUK_BDQm_8tKq4WH-q7s8ucBH-2d7fQXCnFetP5PsgclhqHWm-fe2nLQCXSNYyn3lrXyLE7dZm2I/s400/190217+Amandine51.jpeg" width="400" /></a></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-54557061207520193472017-01-31T19:47:00.001+01:002017-01-31T19:47:04.853+01:00Quatuor (5)<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXSrXRhF73E7_kkfCzz6-pCo-mOb14zC9Dr3XM7CoIQBvEicIK44ZfIE8mN6LYEqE1omfSv95pRqu1PThyphenhyphenRmFczhBcXOKuvCFcZpFp8JOOuZHv7icB1IuDwJskbBOnqkOC_u2lhe2VgPw/s1600/red+charls+1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="335" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXSrXRhF73E7_kkfCzz6-pCo-mOb14zC9Dr3XM7CoIQBvEicIK44ZfIE8mN6LYEqE1omfSv95pRqu1PThyphenhyphenRmFczhBcXOKuvCFcZpFp8JOOuZHv7icB1IuDwJskbBOnqkOC_u2lhe2VgPw/s400/red+charls+1.jpg" width="440" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="font-size: x-small;">© <a href="http://red.charls.free.fr/entree.php" target="_blank">Red Charls</a></span></div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Thomas prit Amandine par la main et l'aida à basculer sur ses genoux.<br />
Lorsque Lise se trouva dans la même position, les deux hommes soulevèrent leur jupe de concert. Il faisait très froid ce jour-là et des collants opaques recouvraient les jambes et les fessiers des pénitentes, aussi ne furent-ils pas en mesure de juger du premier regard celle qui portait la plus belle culotte. Mais ce petit obstacle n'était certainement pas en mesure de les arrêter. Tant bien que mal, ils réussirent à abaisser l'ultime barrière de nylon qui protégeait l'objet de leur convoitise et jaugèrent l'emballage qui se révélait à eux. Amandine portait une petite culotte noire en dentelle tandis que Lise arborait une magnifique culotte en satin pourpre et d'un commun accord, ils proclamèrent avec force solennité que Lise remportait les 10 premiers points.<br />
<br />
Thomas se pencha à l'oreille d'Amandine et lui murmura « Tu as intérêt à te rattraper !», ce qui naturellement la vexa un peu. Mais elle savait qu'elle avait toutes ses chances aux épreuves d'endurance…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Les premières claques tombèrent. Comme à son habitude, Thomas frappait fort et vite, embrasant littéralement le fessier d'Amandine dès les toutes premières minutes. Patrick officiait plus progressivement pour que Lise s'accommode peu à peu de la brûlure qui bientôt envahirait ses chairs, ferait gonfler sa vulve et chavirer ses sens. Amandine ne bénéficiait pas d'autant de bienveillance. Le cœur battant, elle crispait ses muscles pour ne pas faillir et jeter sa main en arrière pour se protéger. Il y avait 10 points en jeu pour celle qui aurait le comportement le plus exemplaire et elle ne comptait pas les perdre. Elle observa Lise du coin de l'œil. Patrick tenait son poignet droit, haut sur ses reins et elle se détendit un peu. Ces points-là étaient à sa portée ! </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Au bout d'un temps qui lui parut interminable, les claques s'arrêtèrent. Thomas ouvrit une boite que Patrick avait placée entre eux et qui contenait les divers instruments du couple. Il se saisit d'un martinet. Il savait pourtant qu'Amandine détestait cela. Voulait-il vraiment qu'elle perde ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Lève-toi et penche-toi au-dessus de l'accoudoir ».</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Elle obéit et sentit les lanières lui caresser les reins avant que le premier coup ne vienne la cingler. L'orage se déchaîna. Ses fesses s'embrasaient, crépitaient. Elle ferma les yeux et se laissa aller jusqu'à ce que la tempête s'arrête de nouveau. Thomas était reparti vers la boite à trésor, oubliant le martinet qu'Amandine se hâta de cacher sous les coussins du canapé. Voilà un instrument que Lise et Patrick n'auraient pas !</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Thomas revint près d'elle avec un paddle en cuir, un instrument qu'elle aimait tout particulièrement. La fessée reprit, lente et mesurée cette fois. A chaque coup, ses fesses ondulaient comme les vagues de l'océan. C’était une sensation si agréable qu'elle aurait voulu qu'elle dure toujours. Elle commença à soupirer, son esprits divaguait vers d'autres rêverie...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais Thomas s'arrêta et changea d'instrument. Brosse, règle, tawse, canne, aucun des instruments de Liste et Patrick ne lui échappa. Amandine avait depuis longtemps perdu conscience des coups et des instruments qui lui étaient appliqués lorsque le jeu cessa. Sa perception des choses se limitait à ses fesses qui s'étaient enflammées et à son sexe, tellement gonflée qu'il semblait sur le point d'exploser. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Il est temps à présent de faire les comptes ! » déclara Patrick alors que Lise, lovée sur ses genoux, tentait de l'embrasser.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Celle qui avait enduré le plus de coups était incontestablement Amandine, aucun des protagonistes n'en avait le moindre doute. Patrick avait mené la fessée avec art, sachant maintenir l'équilibre pour que Lise le suive sans appréhension, mais leur jeu était bien plus caressant que claquant. </div>
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<br /></div>
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Chaque couple énuméra ensuite les instruments qu'il avait utilisés. Patrick n'avait pas pris leurs instruments les plus sévères, la tawse et la canne, mais il s'interrogeait sur le martinet qu'il n'avait pas trouvé dans la boîte alors qu'il l'aurait volontiers utilisé, Lise aimant particulièrement les caresses de ses lanières. Sous le regard sévère de Thomas, Amandine ne pipa mot. Cela faisait 20 points pour elle, contre 10 pour Lise, et même si elle n'avait pas caché le martinet pour que ses amis ne puissent l'utiliser, elle aurait tout de même gagné ces dix points- là !</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour le critère suivant, le choix était plus difficile. Lise avait reçu moins de claques qu'Amandine, mais sa peau diaphane marquait bien davantage, aussi choisirent-ils de lui attribuer les 10 points correspondant aux fesses les plus rouges. Les compétitrices se trouvaient ainsi à égalité...</div>
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<br /></div>
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« Qui a eu le comportement le plus exemplaire pendant la fessée ? » demanda Patrick en riant. </div>
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<br />
« Pas toi, Lise, c'est sûr ! », ajouta-t-il en tapotant les fesses de sa bien-aimée.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Lise le regarda, mi amusée, mi vexée, mais ne répondit rien et fit bonne grâce de ces 10 points-là à Amandine. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Et pour ce qui est de celle qui a demandé le plus sincèrement pardon après sa fessée, on peut dire que vous êtes toutes les deux disqualifiées ! » renchérit Thomas. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Encore heureux » répondirent-elles en cœur, « nous n'avions rien fait de mal ! » </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Vous auriez au moins pu faire semblant… »</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Certainement pas ! » </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Et tous rirent de bon cœur. </div>
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<br /></div>
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« Je crois qu'Amandine a finalement gagné » proclamas Thomas en l'embrassant goulûment.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Mais qu'est-ce que j'ai gagné au juste ? » demanda-t-elle, un peu inquiète.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Ça, tu vas bientôt le découvrir… mais avant nous allons fêter ce premier jeu de l'année dignement !»</div>
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<br /></div>
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Patrick versait du champagne dans des coupes que regardaient les deux pénitentes avec envie. La fessée leur avait donné chaud et elles étaient assoiffées.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Mais Toi, Amandine, tu dois être punie pour avoir triché lors du jeu en cachant le martinet. Pendant que nous allons nous régaler de ce délicieux champagne, tu vas nous attendre au coin, mains sur la tête et ton délicieux popotin bien en vue ! » déclara Thomas d'un ton qui ne prêtait pas à la moindre protestation. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine était furieuse, vexée, et surtout très déçue de ne pouvoir étancher sa soif, mais elle n'osa contester sa faute et obéit.<br />
<br />
Au bout d'un temps qui lui parut une éternité, elle entendit </div>
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<br /></div>
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« Mettez vos manteaux, nous sortons ! »</div>
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<br /></div>
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Toute la petite troupe se retrouva vite plongée dans le froid glacial qui avait envahi la Normandie ces derniers jours. Thomas marchait en tête, bien décidé à mener à bien son plan. Amandine interrogeait Lise pour savoir où ils allaient mais elle ne semblait pas être au courant, et Patrick ne voulait rien lui dire.<br />
Ils atteignirent la plage alors qu'il faisait déjà presque nuit. Par ce temps, elle était déserte, mais cela ne semblait pas inquiéter Thomas qui prit aussitôt la direction des falaises. Arrivé devant un gros rocher blanc, il s'assit et agrippa le bras d'Amandine.</div>
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<br /></div>
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« Tu sais qu'à chaque fois que nous nous promenons sur la plage, tu me dis que tu aimerais y recevoir une fessée... ».</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
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« Non, mais je disais ça juste comme ça ! » répondit Amandine, soudainement effrayée.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Non, tu disais ça juste <b>pour</b> ça ! » reprit Thomas, en la forçant à basculer sur ses genoux. </div>
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<br /></div>
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Il ne s'embarrassa d'aucune manière, remonta haut sur ses reins son manteau et sa jupe et dans le même mouvement abaissa sa culotte. Le contraste entre la chaleur qui subsistait encore de la longue fessée qu'elle avait reçu peu de temps auparavant et la température glaciale qui régnait sur la plage la saisit si brusquement qu'elle perdit tout repère et toute velléité d'opposition. Thomas profita de cette passivité soudaine pour marquer de son empreinte le territoire qui lui était offert et la fessée fut magistrale ! Amandine s'y abandonna avec délice, sans qu'elle ne prenne jamais conscience du spectacle qu'elle donnait ainsi. Etourdie par le chant des claques qui résonnait en écho sur la falaise, rien ne parvenait à atteindre son esprit en dehors de cette brûlure qui tentait d'embrasser son séant mais que le vent glacial parvenait à maîtriser. </div>
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<br /></div>
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Thomas cessa la fessée et caressa longuement les fesses de son amante qui ne bougeait pas, de peur de rompre le charme de l'instant. Lise et Patrick, qui avaient assisté en silence à la fessée d'Amandine, s'étaient un peu éloignés pour ne pas perturber cet instant très intime que s'offraient leurs amis. </div>
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<br /></div>
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Au bout de quelques minutes, Amandine se releva et embrassa tendrement Thomas.</div>
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<br /></div>
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« On rentre ! Il y a une coupe de champagne qui t'attend ! » lui glissa-t-il malicieusement à l'oreille.</div>
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<br /></div>
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« J'espère bien ! » répondit-elle, en se blottissant tout contre lui.</div>
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<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com9tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-80766420131309639352017-01-26T19:54:00.003+01:002017-01-26T21:49:29.900+01:00Quatuor (4)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>L'histoire était terminée... et puis, non, finalement! Une petite suite, que j'ai écrit moi-même, cette fois.</i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i><br /></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgudnetAThh_jCPmNKgfDwtTyLfIxrSSsqWVUWXWx30Iw_XVrUXObzYqb6XGWu_DVPKxfjK0_1DMOewYGUUI82pxfE71sQoTiCDQwLZxHMkG1I6_D9m5dT0ZgWzC-3InDgXjXXrrWoCT5E/s1600/quatuor+4+C.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="352" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgudnetAThh_jCPmNKgfDwtTyLfIxrSSsqWVUWXWx30Iw_XVrUXObzYqb6XGWu_DVPKxfjK0_1DMOewYGUUI82pxfE71sQoTiCDQwLZxHMkG1I6_D9m5dT0ZgWzC-3InDgXjXXrrWoCT5E/s320/quatuor+4+C.jpg" width="352" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
Leur dernière rencontre avait eu lieu depuis plusieurs semaines déjà. Les contraintes professionnelles de tous étaient très fortes en ce début d’année et Thomas n'avait pu réussir à se libérer pour rejoindre le littoral normand et fêter avec chaleur la plus belle des nouvelles années. Lise et Amandine, en revanche, se voyaient régulièrement. Elles avaient pris un abonnement à la piscine et s'y retrouvaient deux fois par semaine pour quelques brasses et de longues discussions que la fessée et la malice de leurs amants ne manquaient pas d'alimenter. Mais elles s'interdisaient de penser à une quelconque vengeance, le fiasco de leur dernière tentative leur ayant définitivement servi de leçon.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Alors que la fin du mois de janvier approchait et qu'Amandine se désespérait de ne plus jamais revivre ces émotions claquantes qu'elle aimait tant, Thomas lui fit le plus beau des cadeaux : une visite surprise! Alors qu'elle profitait des soldes dans une petite boutique du centre-ville, elle n'en crut pas ses yeux lorsqu'elle le vit traverser la rue et venir à sa rencontre. Lise, qui l'accompagnait, ne semblait pas du tout surprise et Amandine eu le vague sentiment que quelque chose se tramait. Mais peu importait, elle était si heureuse de retrouver Thomas qu'aucune ombre n'aurait pu venir gâcher ce moment et c'est en riant qu'elle se précipita dans ses bras.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Vous venez vous réchauffer à la maison ? » demanda Lise avec une petite lueur espiègle dans les yeux. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine aurait préféré rentrer directement chez elle, se retrouver seule avec Thomas. Cela faisait si longtemps qu'ils ne s'étaient vus et ils avaient plein de chose à se dire, à partager... Mais elle n'osa pas refuser l'invitation et ils se retrouvèrent quelques minutes plus tard dans le grand salon où Patrick les accueillis chaleureusement. Curieusement, des verres, des boissons et des gâteaux étaient disposés sur la table, comme si Patrick avait préparé leur venue, alors qu'Amandine en était certaine, Lise de ne lui avait pas téléphoné pour la lui annoncer ! Elle regarda Thomas mais si ce dernier était surpris, il n'en laissait rien paraître. Il prit place autour du canapé et lui fit signe pour qu'elle s'assoie à ses côtés. Les deux couples retrouvaient peu à peu le plaisir d'être ensemble et de discuter, de tout et de rien. L'atmosphère était chaleureuse et les petits gâteaux, confectionnés par Lise le matin même, vraiment délicieux ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Soudain, Patrick se leva et déclara qu'il était temps de fêter dignement la nouvelle année.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Thomas et moi avons décidé que 2017 serait l'année du jeu... » déclara-t-il solennellement.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Et il est grand temps que nous lancions le premier ! ».</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Tout le monde souriait, mais Amandine et Lise se doutaient bien qu'il y avait anguille sous roche et se méfiaient un peu.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Ce jeu se joue en deux équipes. Bien sûr, Thomas jouera avec Amandine et je jouerai avec toi, Lise». </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine regarda Lise mais elle semblait tout aussi surprise qu'elle par la tournure que prenaient les événements.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Comme dans tous les jeux, l'équipe qui gagnera sera celle qui emportera le plus de points, mais ce sont vous, et uniquement vous mesdames, qui permettrez à votre équipe d'en marquer. Il vous faudra donc faire de grands efforts... »</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine et Lise se regardèrent à nouveau, de plus en plus inquiètes.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Voici donc les règles du jeu.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Thomas et moi allons vous donner une fessée qui donnera lieu à la distribution de points suivante : </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- 10 points pour celle qui porte la plus belle culotte, </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- 10 points pour celle qui aura enduré le plus de coups,</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- 10 points pour le couple qui aura utilisé le plus d'instruments,</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- 10 points pour celle qui aura les fesses les plus rouges,</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- 10 points pour celle qui aura le comportement le plus exemplaire pendant la fessée,</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Et enfin, 10 points pour celle qui demandera le plus sincèrement pardon après sa fessée.»</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine se lança dans un rapide calcul. Pour la culotte, c'était sans doute déjà perdu. Comme elle ne s'attendait pas à la visite de Thomas ce jour-là, elle avait enfilé la première venue mais elle ne parvenait pas à se souvenir de laquelle c'était. Lise, au contraire, était au courant de leur rencontre, et avait certainement dû mettre une jolie culotte, car quand Patrick et Thomas étaient ensemble, leurs fessiers finissaient toujours par être exposés, d'une manière ou d'une autre. Mieux valait donc renoncer à ces dix points là !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour ce qui concernait l'endurance, le nombre de coups et d'instruments reçus, la rougeur des fesses, Amandine était plus confiante bien que Lise se montrerait sans doute une adversaire coriace. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Quant à celle qui aurait le comportement le plus exemplaire, les pronostics étaient incertains, aucune d'entre elles n'étant par nature particulièrement soumise…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais ce qui interpellait le plus Amandine était certainement le dernier. Qu'entendait-il exactement par "demander pardon" ? C’était un jeu, elle n'avait rien fait de mal ! Pourquoi demander pardon ?</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Mais qu'est-ce qu'on gagne si on remporte le plus de points ?» demanda une Lise qui semblait tout aussi dubitative qu'Amandine.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« La réalisation de l'un de vos fantasmes encore inassouvi ! »</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Lise et Amandine se regardèrent, interloquées. Si quelques images défilaient dans leurs esprits, elles ne voyaient guère comment cela pouvait se jouer à quatre ! </div>
<div style="text-align: justify;">
Amandine n'était soudain plus trop sûre de vouloir gagner. Et à bien regarder Lise, il semblait qu'elle non plus n'avait aucune envie de réaliser devant ses amis ses fantasmes les plus secrets !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Il est temps de commencer, Mesdames ! ».</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
(à suivre)</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com15tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-31675963718550589422017-01-22T22:08:00.000+01:002017-01-22T22:08:33.153+01:00Vidéos<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7KI-TKQ_yZSnLEjbjn9o2A477odNBibN6jEKdwoBsYE7h5w9SZKHL7AhDK_D298f7dpanpMrLVUQ4-YglBYbMoSnjMcCDn6iZA4SwOkzXDgvF7CLpf553TmKHbL8pC5NYn632EJBziUk/s1600/vid%25C3%25A9o+3.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7KI-TKQ_yZSnLEjbjn9o2A477odNBibN6jEKdwoBsYE7h5w9SZKHL7AhDK_D298f7dpanpMrLVUQ4-YglBYbMoSnjMcCDn6iZA4SwOkzXDgvF7CLpf553TmKHbL8pC5NYn632EJBziUk/s400/vid%25C3%25A9o+3.png" width="440" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je me suis aperçue ce week-end que toutes les vidéos du blog avaient disparu ! Je ne sais pas depuis quand, encore moins pourquoi, mais les codes de partage ne semblent plus fonctionner sur Blogger. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
J'ai donc dû rechercher chacune des vidéos sur le web (<i>ce qui n'était pas une mince affaire!</i>) pour ensuite les sauvegarder puis les recharger sur le blog. Il m'en manque quelques unes, notamment une que j'aimais tout particulièrement et que j'avais publié sous le post "Les déculottées du dimanche". Si par hasard quelqu'un l'avait sauvegardée sur son ordinateur et voulait bien me la renvoyer, j'en serais vraiment ravie !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
A toute chose, malheur est bon et ce gros travail m'a permis de redécouvrir pas mal de vidéos que j'avais complètement oubliées. Celle que je préfère, la plus belle et romantique, est sans aucun doute <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2013/01/une-petite-douceur.html" target="_blank">celle de cet artiste fesseur néerlandais</a>. Quel merveille !<br />
J'aime aussi <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2013/04/avoir-de-la-tenue.html" target="_blank">beaucoup celle-là</a>, parce que les fesses de la fille sont vraiment très belles, mais aussi parce que le fesseur est élégamment vêtu, ce qui est fort rare dans les vidéos d'amateurs. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour conclure sur ce tout petit sujet, je vous présente ma dernière découverte : une vidéo très/trop courte, mais esthétiquement très belle...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='500' height='420' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dw4CbQ8Kxyf5gfvtZ3kl-pM5crPqHLQkVx8iUU9Z-isIwYQgdMYhQdp57pFJcRllBJLt550fYpnoiqoCSVlXw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
</div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-854566889438425872017-01-18T21:21:00.001+01:002017-01-19T18:50:05.982+01:00Ceux qui restent<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJ4J6XIr5aKn9hIzFE2KxxSyWib_4X5l49fIAObTkssKXFGZKV3YwQykTNwk6DK7cwVD9dP7F_2I9gUNMccDLZ296MjrxKI6N2WbE5BdIAzbPcFroI8YuCyAEH8wCwlKtCP1cratPjrbY/s1600/ceux+qui+restent+affiche.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJ4J6XIr5aKn9hIzFE2KxxSyWib_4X5l49fIAObTkssKXFGZKV3YwQykTNwk6DK7cwVD9dP7F_2I9gUNMccDLZ296MjrxKI6N2WbE5BdIAzbPcFroI8YuCyAEH8wCwlKtCP1cratPjrbY/s400/ceux+qui+restent+affiche.jpg" width="293" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Aujourd'hui je voulais vous parler d'un film touchant, délicat, pudique, d'une histoire d'amour drôle, élégante et grave, impossible parce que trop coupable. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
« Ceux qui restent » fait partie de ces films qui retracent la vie, la vraie, celle qui n'a rien de spectaculaire, de sensationnelle, celle que nous avons tous vécue, des émotions vraies portées par de formidables acteurs, si justes qu'ils nous font oublier que tout cela n'est que cinéma. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pourquoi vous parler de ce film ici ? Parce qu'il contient une scène qui m'a particulièrement émue, forcément ! Est-ce un hasard si cette scène est précisément celle qui est à l'affiche du film ?</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='464' height='386' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dyEqoaJK7o-x3NTQuNFdNPlVP_679erVpTTw55p5f-UPmUGDdIpP98dmzUrVfwBoZfVDqAw9j4d4fbPejn6Zg' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com17tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-62764635948132050722016-12-31T19:09:00.001+01:002016-12-31T20:12:16.512+01:00Bonne Année !<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJj5IWcuX_-jxkGlw0fLerZ3Wt21uT-gKn72Dd-bc8leAlgJ_rxKInq36JNbvNutbIN7ZJ50IumuJN75Hg4Gk-A7kSNF2LB-AQ41G1eEFFp8UcI6dZAULWoV99eXkNXE0ipC3D13XGECM/s1600/nouvel-an-2017.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJj5IWcuX_-jxkGlw0fLerZ3Wt21uT-gKn72Dd-bc8leAlgJ_rxKInq36JNbvNutbIN7ZJ50IumuJN75Hg4Gk-A7kSNF2LB-AQ41G1eEFFp8UcI6dZAULWoV99eXkNXE0ipC3D13XGECM/s400/nouvel-an-2017.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<br />
A tous ceux qui viennent ici, </div>
<div style="text-align: center;">
par hasard ou par curiosité, </div>
<div style="text-align: center;">
pour me lire ou pour discuter,</div>
<div style="text-align: center;">
à tous ceux que la fessée fait rêver,</div>
<div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div>
<div style="text-align: center;">
je souhaite beaucoup de bonheur, </div>
<div style="text-align: center;">
d'amour, de joies et toutes ces belles émotions </div>
<div style="text-align: center;">
sans lesquelles nos vies seraient si pâles !</div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #990000;">Du rouge, un peu, beaucoup, passionnément...</span></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #990000; font-size: x-large;"><b>Bonne Année à tous !</b></span></div>
</div>
</div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com21tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-51720474218430468272016-12-11T21:43:00.000+01:002016-12-11T21:43:33.057+01:00SpankingApp<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrwc5UWHuKGGT_84O-4lEuVDyaEZJVJhjUP8a2ohtV7e1cqpIWuSi5RFyqvnjReuxAPgSYO12sOjLnseFprwRTeXp_yzro1QZ_sQfgAgYfhS8MUs5usNqYkZTOKo3tt9NmmDt-_0YuxDI/s1600/spankingapp-screen-4.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrwc5UWHuKGGT_84O-4lEuVDyaEZJVJhjUP8a2ohtV7e1cqpIWuSi5RFyqvnjReuxAPgSYO12sOjLnseFprwRTeXp_yzro1QZ_sQfgAgYfhS8MUs5usNqYkZTOKo3tt9NmmDt-_0YuxDI/s400/spankingapp-screen-4.png" width="223" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Saviez-vous qu'il existe désormais une application pour la fessée ? </div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<div style="text-align: justify;">
Il s'agit d'une application entièrement gratuite, malheureusement disponible uniquement sous android. Possédant un IPhone, je n'ai pas pu la tester, mais d'après ce que m'a expliqué Tony, son concepteur, elle ressemble un peu au logiciel qu'avait développé The Art of self Spanking et dont j'avais <a href="https://leserrancesdamandine.blogspot.fr/2013/02/auto-fessee.html" target="_blank">un peu parlé ici</a>. </div>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je vous laisse découvrir la vidéo de présentation...</div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/nP-pSc07DD0" width="560"></iframe><br /></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si vous souhaitez en savoir un peu plus, vous trouverez tous les détails de l'application sur <a href="http://spankingapp.com/" target="_blank">le site de Spankingapp</a>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si vous possédez un appareil sous android et téléchargez cette application, revenez ici nous dire ce que vous en pensez, ce que vous aimez ou n'aimez pas, ce qui marche ou ne marche pas, ce que vous aimeriez y voir ajouter, etc. Tony comprends le français et sera ravi d'avoir votre avis ! :-)</div>
<br />Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com20tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-77223010001539178802016-12-05T13:33:00.000+01:002016-12-05T13:33:14.847+01:00La peur de la fessée<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCmw6w0_w5hEhP2o_rmvri8w7JWh1aLoKqVlEVz4JcOz3-zBCIIwng4Yo8oRPCMjJVg3FCHlwxam-3LqKGm-NMLpeV_kX4lQ9Jea1DDZV09JyIY1WP352xGfeLy4mT5hBDWaVQW4ZrZZI/s1600/peur+de+la+fess%25C3%25A9e.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCmw6w0_w5hEhP2o_rmvri8w7JWh1aLoKqVlEVz4JcOz3-zBCIIwng4Yo8oRPCMjJVg3FCHlwxam-3LqKGm-NMLpeV_kX4lQ9Jea1DDZV09JyIY1WP352xGfeLy4mT5hBDWaVQW4ZrZZI/s400/peur+de+la+fess%25C3%25A9e.jpg" width="440" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En lisant <a href="https://mariposasdechocolate.com/2016/12/05/hablando-claro-del-spanking-por-steve/" target="_blank">le blog de Mariposas de Chocolate</a>, dont je trouve l'article du jour particulièrement juste, un souvenir m'est revenu en mémoire. Nous traversions le boulevard des Italiens, juste en face de l'Opéra Garnier, quand il m'a dit :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Un jour, j'aimerais que tu ne fasses pas quelque chose par peur de recevoir la fessée. Je trouverais cela très gratifiant !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je lui ai répondu, du tac au tac,</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Tu serais malin si je commençais à avoir peur de recevoir une fessée ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
mais j'avoue que cette remarque m'avait beaucoup surprise. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Serait-il concevable que mon comportement puisse être influencé par la peur de recevoir une fessée ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Définitivement, non ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La fessée est un jeu érotique, et uniquement érotique. Elle permet, certes, de pacifier les relations en évitant que les petits conflits, inévitables dans une relation à deux, ne s'amplifient façon boule de neige. Mais ce n'est pas parce qu'elle a valeur de crainte ou valeur d'éducation !</div>
<div style="text-align: justify;">
La fessée permet de se reconnecter à l'autre, d'abandonner le conflit pour se replacer dans un contexte érotique et amoureux dans lequel il est bien plus facile de dialoguer et de trouver, s'il y a lieu, une solution au problème. Mais l'idée que la fessée puisse être disciplinaire, comme elle a pu être employée durant des siècles sur les enfants, me paraît complètement absurde et dangereux. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
S'il m'arrive parfois de lui demander de me punir pour une faute "réeelle" que je pense avoir commise, ce n'est absolument pas pour la valeur disciplinaire de la fessée, valeur à laquelle je ne crois absolument pas, mais parce que j'ai besoin de me sentir aimée et pardonnée. J'ai besoin de ce contact physique, aussi cuisant soit-il, pour me sentir en connivence, en communion, avec lui. Pour nombre de gens, faire l'amour est suffisant pour recréer ce lien. Pour moi, la fessée est plus puissante, plus érotique, plus émouvante, plus intime, mais elle ne diffère pas en nature. Il s'agit bien d'un acte érotique, et rien d'autre...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Alors non, mon comportement ne changera jamais par peur de recevoir une fessée ! Il pourra être influencé par ma volonté de ne pas décevoir mon partenaire, comme cela est le cas pour toutes les personnes qui comptent réellement pour moi, mais pas par la crainte de recevoir une correction. Cela n'a pour moi aucun sens, ni pour les enfants, ni pour les adultes... </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com17tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-6892772480263821782016-11-30T19:00:00.000+01:002016-11-30T20:49:47.181+01:00Franchir le pas<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggssv9CTqarYKtRYnLpZtQgVX9VDkxFhtQIFbdqKgsr16rwM4lITKwc1fEm_sFNK5BI5m8G_a8rTULCXbdPDb6P9f30X0SdUOiq_U1ahG_efv8JwxNndyD_nLNp86SWK1SHbS8WqQTfwk/s1600/aaa2.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggssv9CTqarYKtRYnLpZtQgVX9VDkxFhtQIFbdqKgsr16rwM4lITKwc1fEm_sFNK5BI5m8G_a8rTULCXbdPDb6P9f30X0SdUOiq_U1ahG_efv8JwxNndyD_nLNp86SWK1SHbS8WqQTfwk/s400/aaa2.png" width="400" /></a></div>
<br />
Rencontrer pour la première fois un partenaire de jeu n'est pas chose facile. Il faut vaincre sa peur et sa pudeur...<br />
<br />
Vais-je aimer cela ou avoir trop mal ? L'homme avec qui je discute sur le net est-il réellement celui qu'il paraît être ? N'abusera-t-il pas de ma vulnérabilité ?<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Dans cette vidéo, la belle Samatha Woodley joue le rôle d'une jeune femme qui se décide enfin à rencontrer l'homme avec lequel elle discutait sur le net depuis deux longues années...<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je trouve cette vidéo globalement assez réaliste. Peut-être aidera-t-elle celles qui hésitent encore à franchir le pas ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='422' height='351' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dxp1jjRXftOLPmnpRc1zsviVPIzsa592EUxtVyFZHVZ6Uea1u4b4OMgdcWfI0SYDJe0X8s5hjS5M-5pjQbPfw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe></div>
<br />
Pour ceux qui ne voient pas la vidéo (notamment les utilisateurs d'appareils mobiles), <a href="https://fr.xhamster.com/movies/6732266/517.html" target="_blank">vous pouvez voir la vidéo en cliquant ici</a>.<br />
<br />Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-47679050041234745122016-11-28T18:39:00.000+01:002016-11-28T19:29:01.728+01:00Cuisantes retrouvailles<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggjwLD2kUXjBbLMntlgSqJ3LEH1U39cf89FDr51IhLzHFEILgyO2cNqDr_ls8gkkdn8o2qVra1Iyz0mIuPDJMPyOd3h29mKjy2wBV5fDufJmeiGlnbFFdxIZGEQkX9-fH6eTlqEnm05yk/s1600/lui.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggjwLD2kUXjBbLMntlgSqJ3LEH1U39cf89FDr51IhLzHFEILgyO2cNqDr_ls8gkkdn8o2qVra1Iyz0mIuPDJMPyOd3h29mKjy2wBV5fDufJmeiGlnbFFdxIZGEQkX9-fH6eTlqEnm05yk/s400/lui.jpg" width="376" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Nous avions convenu de nous retrouver gare Saint-Lazare. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Je t'attendrai au bout du quai.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
J'avais hâte de le retrouver mais voulais aussi savourer ce moment, le "juste avant", celui où tout est encore possible, imaginable, souhaitable... L'amour se rêve, s'imagine, se savoure, jamais il ne se presse. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Arrivée au bout du quai, je ne le reconnus pas immédiatement. Il était allé chez le coiffeur et sa nouvelle coupe lui donnait un air plus juvénile auquel il fallait que je m'habitue. Le problème des relations épisodiques est qu'il faut à chaque fois se réhabituer l'un à l'autre, même si cela se fait somme toute assez rapidement.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un baiser sur mes lèvres, une main autour de ma taille…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Viens, il faut que je te montre quelque chose ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un festival photographique s'exposait en plein hall, et l'une des photographies semblait un clin d'œil à nos retrouvailles.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtLg2hlPx9v3g1uhqmvoCnsANoYTA66yx_HT9Oqr9rRFaUHUDcZ7SMUBuZOe01vRwfSSD0GNhkXNR6wdMdmcCnL4pUqv-B26xUqZhU5xxWqwkGBx8Dm44ydfpkE7tndS6Ge5SS4I3jB4A/s1600/IMG_0463+-+Copie.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtLg2hlPx9v3g1uhqmvoCnsANoYTA66yx_HT9Oqr9rRFaUHUDcZ7SMUBuZOe01vRwfSSD0GNhkXNR6wdMdmcCnL4pUqv-B26xUqZhU5xxWqwkGBx8Dm44ydfpkE7tndS6Ge5SS4I3jB4A/s400/IMG_0463+-+Copie.JPG" width="278" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Un sourire complice, un baiser langoureux, et nous reprîment notre marche vers notre destin du jour. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Il avait réservé une chambre dans l'un des plus prestigieux hôtel de la capitale, le genre que seuls les couples illégitimes peuvent se payer grâce à Dayuse.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La chambre qui nous avait été attribuée était finalement assez petite et il en parut très déçu. Moi, je ne l'étais pas du tout ! Elle était petite mais très confortable. Surtout le lit ! Royal ! Et j'étais crevée…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Tu veux sortir ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Quand j'étais malheureuse, que je me sentais seule et délaissée (<i>ne fréquentez jamais un homme marié si vous êtes vous-même célibataire !</i>), je lui reprochais de n'être pour lui "qu'une simple paire de fesses". C'était en partie vrai, je ne me leurre pas... Mais en partie seulement ! La psychologie des hommes infidèles est très complexe... Toujours est-il que ce jour-là, il avait à cœur de me prouver que j'avais tort et nous avions décidé, avant tout acte de luxure, de profiter du beau temps et des merveilles de la capitale pour nous balader ou visiter une exposition.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais voilà, j'étais fatiguée et le lit vraiment confortable…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Non, je voudrais me reposer d'abord.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je voyais bien qu'il était ennuyé, qu'il ne savait pas trop quoi faire. Il passait sa main sur mes cheveux, sur mon dos, effleurait très légèrement mes fesses mais n'osait pas aller plus loin. Quand il se releva, je m'exclamais :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Ah non, tu ne peux t'arrêter là ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Il sourit et revint près de moi. Il devait me trouver déboussolante, pénible, ce genre de fille qui ne sait jamais ce qu'elle veut ! Je lui avais fait des reproches que je ne pensais pas, parce que j'avais besoin de justifier ma tristesse, parce que je ne pouvais pas lui reprocher d'être marié et d'en aimer une autre, parce que nous ne pouvions nous voir que quand sa femme en décidait et qu'en dehors de ces instants magiques je me sentais désespérément seule… Et puis, il fallait bien aussi que je mérite mes fessées ! </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Quelques claques tombèrent, des réprimandes furent prononcées. Je ne me souviens plus de ce qu'il me reprochait, mais cela n'avait aucun lien avec la réalité et je l'interrompis assez rapidement :</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Non, tu devrais me punir pour tout ce que je t'ai reproché mercredi !</div>
<div style="text-align: justify;">
- Tu veux une vraie punition ?</div>
<div style="text-align: justify;">
- Oui</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Il ne se fit pas prier. Je l'avais vraiment énervé avec mes reproches aussi injustes qu'inutiles, et puisque je le demandais, j'allais en payer le juste prix.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Il me donna une véritable correction ce jour-là. Il avait l'habitude de frapper fort, mais il se surpassa, de sa main, de sa ceinture, jusqu'à ce que mes larmes coulent. C'était la première fois que je pleurais durant une fessée et il m'avoua plus tard qu'il en avait été profondément ému. A un moment, il s'est interrompu et m'a demandé si je voulais qu'il continue ou qu'il arrête.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Continue, s'il te plait…</div>
<div style="text-align: justify;">
- Aussi fort ?</div>
<div style="text-align: justify;">
- Oui</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Paradoxalement, cette douleur et les larmes qu'elle générait me faisaient beaucoup de bien.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Après cette étrange séance, nous ne nous sommes pas livrés à d'endiablés ébats comme nous en avions coutume mais il me garda longtemps dans ses bras… et puis il s'est déshabillé et s'est allongé sur mes jambes, sans rien dire. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je l'ai alors fessé moi aussi, pas aussi fort qu'il ne l'avait fait lui-même, j'en aurais été incapable, mais plus les claques tombaient et plus j'y prenais goût et y mettais de vigueur. J'avais envie de lui faire plaisir mais aussi de le punir et cela me troublait étrangement. J'avais vaguement l'impression de me venger et cela me mettait mal-à-l’aise.. mais m'excitait aussi, incontestablement. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Sa fessée terminée, il m'a pris à nouveau dans ses bras, m'a retourné et m'en a recollé une ! Mais celle-ci fut joyeuse. Je riais aux éclats tout en lui disant qu'il voulait se venger de la fessée que je venais de lui donner et il riait lui aussi. Toute la tension qui régnait entre nous depuis que nous avions pénétré dans cette chambre s'était enfin dissipée. Nous avions retrouvé notre joie de vivre, de rire, de jouer, de faire l'amour encore et encore…</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En fin d'après-midi, nous avons enfin quitté l’hôtel pour cette longue promenade que nous avions envisagé de faire en premier lieu. Arrivés au jardin des Tuileries, alors que je jouais avec mon téléphone, une claque sonore retentit sur mon postérieur. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
- Arrête de jouer avec ça, sinon…</div>
<div style="text-align: justify;">
- Chiche ? </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La réponse était sortie de ma bouche du tac au tac, sans que je n'y réfléchisse car il est précisément le type d'homme qui ne recule jamais devant un « Chiche ? » et je le savais parfaitement.</div>
<div style="text-align: justify;">
Il m'agrippa par le bras et me tira tant bien que mal (<i>je me débattais du mieux que je pouvais, en lui écrasant les phalanges</i>) vers un banc où il prit place et m'allongea sur ses genoux. Je riais aux éclats tout en protestant fougueusement, mais rien n'entama sa détermination. Il souleva ma jupe et asséna une quinzaine de claques sonores sur ma culotte (<i>qu'heureusement il n'eu pas l'audace de baisser</i>). J'en restais coite ! Comment avait-il pu faire cela au milieu de tout ce monde ? Cet homme était décidément fou et j'adorais sa folie !<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En me relevant du banc, je regardais autour de moi mais personne ne semblait avoir prêté la moindre attention à notre étrange comportement. Il faut dire qu'il faisait déjà presque nuit et qu'en ce jour d'Halloween, les monstres et les sorcières ne surprenaient personne… les pères fouettards non plus !<br />
<br />
<br /></div>
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<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com15tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-73819305604744830342016-11-27T10:06:00.000+01:002016-11-27T10:06:09.328+01:00Quatuor (3)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8JbLFD4g08dKJsQg7G9uGpL56jPAlRcxa9ycchOYH2qP9PwrK58zoeSCNl43BVEVcKRWw5rJE_eq73jy7BJ83eK8R0CPsx-XKDrqwD-zWKfkSNpQETRuMu1nsNab1jdUx7fzIrrnltD4/s1600/Quatuor+3.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8JbLFD4g08dKJsQg7G9uGpL56jPAlRcxa9ycchOYH2qP9PwrK58zoeSCNl43BVEVcKRWw5rJE_eq73jy7BJ83eK8R0CPsx-XKDrqwD-zWKfkSNpQETRuMu1nsNab1jdUx7fzIrrnltD4/s400/Quatuor+3.gif" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
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Les fessées sont comme les crêpes. Il y en a des simples, des doubles, des sucrées, des salées. Puis des complètes, des super-complète, des gargantuesques... Celles que reçurent Thomas et Patrick étaient sans conteste des gargantuesques super-complètes ! </div>
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Tout y passa, la main, le martinet, la baguette, la brosse, le paddle en cuir, le paddle en bois, la canne et même les ceintures qu'Amandine et Lise retirèrent des pantalons qui traînaient à terre. Elles purent constater que les croupes masculines rougissent aussi bien et aussi vite que les féminines, et se contorsionnent sous les coups avec autant de frénésie. Elles constatèrent aussi, avec un grand plaisir, que les vocalises poussées par ces messieurs, quand ils sont soumis à un traitement énergique, n'ont rien à envier à celles de leurs compagnes, même si elles se situent, bien entendu, dans un registre sonore plus grave... Elles préférèrent ignorer, en revanche, les menaces, promesses et supplications dont leurs compagnons ne furent pas avares, dans ce moment si délicat pour leur amour-propre et pour leur carnation.</div>
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<br /></div>
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Mais les meilleures choses ont une fin, et les deux amies réalisèrent avec une certaine appréhension qu'elles ne pouvaient éternellement maintenir leurs captifs hors d'état de nuire, et que la probabilité de dures représailles de leur part était aussi forte que celle d'une défaite de la gauche aux prochaines élections. Elles tentèrent en vain un stratagème : détacher simultanément les deux prisonniers puis se précipiter à l'étage pour s'enfermer dans la chambre d'Amandine.</div>
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<br /></div>
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Face à cette retraite, les deux hommes prirent leur temps. Ils se rhabillèrent, en grimaçant quand il remirent leurs pantalons sur leur postérieurs endoloris, puis attendirent patiemment à la porte de la chambre la sortie des deux délinquantes.</div>
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Je ne crois pas qu'il ait besoin de raconter ce qui arriva à ces gourgandines quand elles pointèrent le bout de leur nez... Ce n'était pas d'ailleurs à leur nez que leurs compagnons en voulaient... Bref, il est des scènes tellement terribles qu'il vaut mieux les imaginer que les décrire.</div>
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<br /></div>
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Les jours qui suivirent cette scène mémorable furent plutôt moroses. Non pas parce que les derrières des quatre acteurs restèrent longtemps sensibles et douloureux, mais parce que les deux hommes étaient vraiment furieux du tour que leur avaient joué leurs femmes.</div>
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<br /></div>
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Patrick décida que puisqu'il en était ainsi, il allait se comporter en vrai macho, préférant les phrases blessantes aux fessées complices. Le reste du temps, il s'enfermait dans une bouderie permanente, ne répondant à Lise que par monosyllabes.</div>
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<br /></div>
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Thomas choisit aussi le silence, épistolaire et téléphonique, en se disant in petto qu'il faisait ainsi d'une pierre deux coups, en se vengeant de la trahison d'Amandine, mais aussi des comparables périodes de black-out qu'elle lui avait, elle aussi, infligées dans le passé.</div>
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<br /></div>
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Mais le temps et la tendresse firent leur oeuvre. Amandine et Lise firent tant et tant pour se faire pardonner, que finalement, au prix de quelques magistrales fessées supplémentaires, elles obtinrent miséricorde de la part de leurs amoureux. A tel point qu'une nouvelle rencontre fut envisagée, pour définitivement effacer l'effet désastreux de la précédente.</div>
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<br /></div>
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La scène se déroula à Dieppe et non à Calais, mais ce fut quasiment comme les bourgeois de cette cité, immortalisés par Rodin, en chemise longue et la corde au cou, que les deux retorses femelles durent se présenter devant leurs maîtres et seigneurs pour une nouvelle punition, deux fessées super-monumentales qui restèrent à jamais inscrites dans les annales des plus belles raclées infligées à un cul féminin... Mais ensuite, joie et bonne humeur revinrent au sein de ce singulier quatuor.</div>
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<br /></div>
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Au moment de se séparer, à l'issue de cette grande réconciliation, Thomas lâcha incidemment : "la prochaine fois, j'arriverai par le train de 15h58". "Oh, et bien, Lise et moi arriverons quand même en début d'après-midi", répondit Patrick, l'air faussement indifférent. Un grand silence accueillit ces déclarations anodines en apparence, mais qui sonnaient comme autant d'aveux et d'espoirs. Un long échange de regards, qui en disait long sur la suite des événements, s'ensuivit.</div>
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<br /></div>
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FIN</div>
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<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com19tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-16475855015836134852016-11-26T20:05:00.003+01:002016-11-26T20:05:39.946+01:00Haut perchée<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfEMBV9vwnqUSysBvQf8bnKnVamYAMHvEC0AGYGMfnZFYzwv5htXh-FneQI3stypFE5FsHYbzbPV9gtjSNeH0MM9IqMWL9J1HE6mYDchUfiBWRvdGZrOfzB67GjCPXETTgo-6qL7-QGqg/s1600/haut+perch%25C3%25A9es.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="440" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfEMBV9vwnqUSysBvQf8bnKnVamYAMHvEC0AGYGMfnZFYzwv5htXh-FneQI3stypFE5FsHYbzbPV9gtjSNeH0MM9IqMWL9J1HE6mYDchUfiBWRvdGZrOfzB67GjCPXETTgo-6qL7-QGqg/s400/haut+perch%25C3%25A9es.jpg" width="293" /></a></div>
<br /></div>
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La plupart des hommes préfèrent les femmes juchées sur de hauts talons. Toutes les femmes le savent et en jouent, et je ne fais pas exception. De toute manière, je déteste les chaussures plates !<br />
<br />
Mais parmi tout l'arsenal de séduction dont nous disposons, quelle est réellement la puissance de ce petit accessoire ? Les chercheurs de l'université de Vannes nous aident à le comprendre, à travers quelques petites expériences toutes simples.<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Dans la première expérience, une jeune femme de 19 ans demande à un homme seul (<i>âgé de 25 à 50 ans</i>), croisé au hasard dans la rue, s'il serait d'accord pour répondre à quelques questions sur l'égalité hommes-femmes. Lorsqu'elle porte des talons plats, moins de 50 % (<i>14 sur 30 précisément</i>) des hommes acceptent. Mais lorsque qu'elle se hisse sur des talons de 5 cm, le le taux de participation à l'étude monte à 63 % (<i>19 sur 30</i>). Et si elle pousse jusqu'à enfiler une paire de 9 cm, 83% (<i>25 sur 30</i>) sont prêts à lui offrir quelques précieuses minutes ! </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour confirmer ces résultats pour le moins étonnants, une deuxième expérience a été lancée avec quatre jeunes femmes de même morphologie, habillées de manière rigoureusement identiques mais portant des talons de hauteur différente. Elles devaient demander à 90 passants (<i>45 hommes et 45 femmes)</i> de répondre à quelques questions sur le thème des habitudes alimentaires. Sans surprise, les hommes ont été plus disposés à collaborer avec les plus hauts talons (81 %) qu'avec les chaussures plates (41 %). En revanche, aucun effet "talons" à attendre sur la gente féminine, leur collaboration restant identique (autour de 30 %) quelle que soit la hauteur des talons portés par l'enquêtrice.</div>
<br />
<div style="text-align: justify;">
Dans une troisième expérience, une jeune femme faisait tomber un gant de son sac à main au moment où elle croisait un passant. 93 % des hommes réagissaient dans les 10 secondes pour signaler la perte à une femme à hauts talons, contre 61 % avec des talons plats. La gentillesse tient à si peu de choses...</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La démarche des femmes en fonction de la hauteur de leurs talons a également été étudiée grâce à des capteurs lumineux répartis sur leur corps. Des hommes âgés de 24 à 28 ans devaient regarder ces séquences et évaluer les degrés d'attraction qu'ils en ressentaient et estimer l'âge de la personne. Le port de hauts talons a conduit à juger la déambulation de points lumineux comme plus féminine, plus attrayante et plus jeune.</div>
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<br /></div>
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Même assise, une femme qui porte de hauts talons attire d'avantage. Dans une autre expérience, 36 femmes, âgées de 20 à 28 ans, étaient vêtues de la même façon à l'exception de leurs chaussures. Elles avaient pour seule instruction de croiser leurs jambes de façon à ce que celles-ci soient visibles. En portant des hauts talons, les femmes étaient abordées en moyenne moins de 8 minutes après leur entrée, alors qu'elles devaient attendre près du double sans talons. </div>
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<br /></div>
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Bien sûr, le pouvoir de séduction d'une femme ne se réduira jamais à cela, mais il est indéniable que de belles chaussures à hauts talons ont une influence notable sur la libido des hommes. Ne vous a-t-on jamais demandé de vous mettre nue mais de garder vos talons pour recevoir la fessée ? Moi, si, et plus d'une fois !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com11tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-71672324117644840512016-11-26T10:44:00.000+01:002016-11-26T16:17:32.814+01:00Quatuor (2)<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjp2ZT4FScDyP_WkDXskppMt2sm7IAzwXJmOGKrjCg_vYI1Pkp1xf5J0Ja2bcLrhQ7U5haehZnKMIlvGkDIq3bbpYgjA5Lcjzc2fpHf4xzm2qStiGL6Rqlw39gl7gnim4SrqIOo9BLkZtg/s1600/quatuor+2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="440" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjp2ZT4FScDyP_WkDXskppMt2sm7IAzwXJmOGKrjCg_vYI1Pkp1xf5J0Ja2bcLrhQ7U5haehZnKMIlvGkDIq3bbpYgjA5Lcjzc2fpHf4xzm2qStiGL6Rqlw39gl7gnim4SrqIOo9BLkZtg/s400/quatuor+2.jpg" width="330" /></a></div>
<br />
La conversation, avec beaucoup de naturel, comme s'ils se connaissaient depuis longtemps, roula bien sûr sur cette bizarrerie que constitue la fessée dans le couple, sur la façon dont chacun avait affronté puis assumé ce fantasme, puis sur la part qu'y avait pris internet. "Vous connaissez sans doute ce site qui porte votre nom, Les errances d'Amandine", dit Lise. Thomas et Amandine se regardèrent en souriant. Amandine alors dévoila en être l'auteur, suscitant les regards admiratifs de ses deux invités. Elle ne put s'empêcher d'être prise d'un frisson de fierté, tandis que Thomas pensait avec émotion : " Amandine fait rêver, mais c'est moi qui la prend dans mes bras !".</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
La discussion bifurqua sur les instruments. "Tu devrais aller chercher ton sac à jouets", dit Thomas à son amante, qui ne demandait que ça. Le martinet et le paddle suscitèrent peu d'intérêt de la part de Patrick et Lise, qui possédaient les mêmes. Le gratte dos cassé et la volumineuse brosse les intéressèrent nettement plus, et Thomas leur proposa de les essayer. "Si vous voulez, je peux aussi vous faire une petite démonstration", suggéra-t-il.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
Lise et Amandine furent basculées côte à côte en travers du dossier du canapé, présentant leurs fesses rapidement remises à nues à la fenêtre, heureusement fermée et opaque. La démonstration qui s'ensuivit fut des plus réjouissantes, quoique douloureuse pour l'épiderme de ces dames. Chaque instrument passait de la main de Thomas à celle de Patrick, qui en comparait les effets avant de solliciter l'avis des intéressées.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
"Vous n'avez pas de canne ?", s'étonna Patrick. "Non, hélas", répondirent en cœur les deux tourtereaux. "Venez chez nous un de ces jours, vous pourrez essayer la notre". "Avec plaisir, et j'amènerai le martinet car le défaut de cet instrument est de toujours toucher la même fesse. Si nous utilisons chacun le notre ensemble, vous et moi, chacun d'un côté, nous remédions à ce dysfonctionnement". "Excellente idée !". Rendez-vous fut pris pour le mois suivant, lors de la prochaine visite de Thomas.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
La visite d'Amandine et Thomas à Lise et Patrick fut une réussite. La distribution simultanée de coups de martinet sur chacune des rondeurs féminines constitua un exemple d'équité, tant entre les deux femmes, qu'entre les deux fesses de chacune. Les mérites comparées de la corde d'Amandine et des menottes de Lise donnèrent lieu à de passionnantes exégèses. Amandine fit connaissance avec la canne, ce qui la marqua profondément dans tous les sens du terme, et quelque temps plus tard, Lise lui apporta un exemplaire qu'elle et son mari s'étaient procuré lors d'un petit voyage en Angleterre.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
Les deux femmes s'étaient en effet lié d'amitié. Si Amandine ne voyait pas le couple en l'absence de Thomas, elle rencontrait souvent Lise, pour prendre un verre en bord de mer ou une petite séance de shopping. Lise admirait Amandine pour son blog, son écriture, son talent, et Amandine enviait Lise qui pouvait jouir des jeux de l'amour et de la fessée en permanence, dans le cadre d'une relation conjugale, alors qu'elle devait se contenter de trop brèves retrouvailles avec son amant. Mais si chacune enviait l'autre, elle ne la jalousait pas, et la complicité entre elles devenait de plus en plus étroite.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
Un samedi, les deux couples devaient se retrouver une nouvelle fois chez Amandine, et rendez vous avait été pris peu après 15H00, Thomas devant rejoindre Dieppe par le train de 14h58. Mais quand Lise et Patrick arrivèrent, seule Amandine les attendait.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
Patrick venait de retirer sa veste, et se tenait dans le salon, quand Lise se serra amoureusement contre lui par derrière, tandis qu'Amandine avançait, souriante. Avant qu'il ait le temps de comprendre ce qui lui arrivait, et de se rappeler que sa compagne avait longtemps pratiqué le judo, il se retrouva maîtrisé par les deux femmes, entièrement déshabillé, solidement ligoté, et bâillonné avec un charmant fouloir en soie ! Le bâillon n'avait en soi aucun intérêt érotique, et devait par la suite être rapidement ôté, mais dans un premier temps, les deux complices ne voulaient à aucun prix que Patrick puisse donner l'alerte à Thomas quand il arriverait.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
Celui-ci avait en fait pris le train de 15h58, ce que savait pertinemment Amandine... Il eut droit au même comité d'accueil que son compagnon d'infortune, et les mêmes causes produisant les mêmes effets, il se se retrouva à son tour nu, les mains attachés au dessus de la tête, au bon vouloir de ces dames. Celles-ci annoncèrent à ces messieurs qu'il était temps pour eux de payer pour les innombrables sévices qu'ils faisaient subir depuis si longtemps à une partie de leur anatomie (à elles) qu'ils proclamaient pourtant chérir, et que l'heure du châtiment avait sonné pour eux...</div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; font-family: Calibri, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;">
(à suivre)</div>
Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-77971033701572453022016-11-25T13:30:00.000+01:002016-11-25T13:30:50.902+01:00Quatuor (1)<div style="text-align: justify;">
<i>Il avait écrit ce texte pour me distraire, pour que je comprenne mieux ses fantasmes aussi, sans doute. Partager notre passion avec un couple d'amis, pourquoi pas? Je pense que ça me plairait beaucoup. Mais dans l'inversion des rôles, je suis assez soft. J'aime recevoir la fessée mais je dois avouer qu'il m'est plus difficile de la donner. Je donne volontiers des fessées érotiques, où seuls la chaleur des fesses et le plaisir de l'autre comptent. Mais prendre le pouvoir, le réprimander, flirter avec ses limites de douleur physique, tout cela ne m'est, ni naturel, ni agréable. Je n'ai pas cette souplesse d'esprit de me fantasmer à la fois soumise et dominatrice... et je prie les hommes que j'ai pu décevoir ainsi de me pardonner! Ce n'est pas de l'égoïsme comme beaucoup peuvent penser. Ce n'est juste pas ma nature, et Dieu sait qu'il est difficile de lutter contre sa nature en matière de fantasme ! </i></div>
<div style="text-align: justify;">
<i><br /></i></div>
<div style="text-align: justify;">
<i>Mais laissons place à ce charmant récit... </i></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZltK2YL1DzMZhU22OGGNSjGOTV3gVC8RHkRIrjMAjlryBbmWoJZGlGvv3RTNzELSWn9MgT4Z5Fe-olgpxbrqLVtMsMEBRd1vscIjWa4qUc672DB29FlVMdQzpgmyH6DFbXqDrkrgxImE/s1600/Quatuor.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZltK2YL1DzMZhU22OGGNSjGOTV3gVC8RHkRIrjMAjlryBbmWoJZGlGvv3RTNzELSWn9MgT4Z5Fe-olgpxbrqLVtMsMEBRd1vscIjWa4qUc672DB29FlVMdQzpgmyH6DFbXqDrkrgxImE/s400/Quatuor.jpg" width="298" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
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Amandine et Thomas profitaient des derniers beaux jours chauds et ensoleillés de ce début d’automne et déjeunaient en terrasse sur le port de Dieppe. Thomas, face à la rue, ne pouvaient s'empêcher d'admirer les belles femmes qui se promenaient là et Amandine en éprouvait quelques agacements. Ni tenant plus, elle fini par lâcher, grinçante : "Oh toi, ça va, tout ce qui porte une jupe t'excite! Tu draguerais même une centenaire !". Comme pour éviter d'être prise en flagrant délit de jalousie, elle ajouta en pouffant : "c'est drôle, hein ?". Il la regarda par dessus ses lunettes. "Très drôle, en effet. Quand nous serons rentrés, tu me feras penser à te flanquer une bonne fessée, histoire que tu sentes combien j'apprécie ton humour ravageur...." </div>
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Des rires surgirent alors de la table d'à côté. "Excusez moi, dit leur voisine, une jolie femme d'une quarantaine d'années, mais c'est exactement ce que pourrait dire mon mari!". "Effectivement...", confirma l'intéressé, un assez bel homme dans les mêmes âges. "Oui, mais lui, il ne se contente pas de le dire, il le fait", glissa Amandine en désignant son amant. "Mais, lui aussi !", renchérit la femme en tendant le doigt vers son époux, qui approuva de la tête.</div>
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Ces confidences impromptues rompirent la glace, et les présentations furent vite faites. Devançant les désirs de Thomas, Amandine proposa à Lise et Patrick de prendre le café chez elle.</div>
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Confortablement installé dans l'un des canapés bleus aux côtés de sa dulcinée, Thomas demanda, l'air de rien : "cela ne vous gêne pas que je donne sa fessée tout de suite à Amandine?". "Je vous en prie, allez-y, vous connaissez le proverbe : fessée différée, fessée ratée", répondit Patrick, tandis que Lise ajouta : "franchement, nous aurions été déçus que vous ne le proposiez pas...."</div>
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D'un geste rapide, Thomas allongea Amandine en travers de ses genoux. Il troussa aussitôt sa jupe et baissa sa culotte. "D'emblée, cul nu ? Vous êtes sévère!", commenta, surpris, Patrick. "Oh, pas tant que ça, car, hélas, je ne suis pas comme vous, j'ai de petites mains...", répondit Thomas en regardant avec envie les très larges palmes de Patrick. Il commença d'emblée la correction avec vigueur, comme il le faisait toujours. "Pour compenser, je fais souvent exprès de taper plusieurs fois au même endroit. C'est un truc que m'a fait découvrir Amandine, et parfois elle regrette de me l'avoir dit...", expliqua-t-il, joignant le geste à la parole, et arrachant à son amoureuse quelques gémissements significatifs. </div>
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"Pour une fois, ce n'est pas Thomas qui m'épate, car je sais bien que ce n'est pas la première fessée qu'il administre en public", pensait Amandine, pendant que les salves de claques s'abattaient sur son postérieur. "C'est moi qui m'étonne : j'accepte sans protester d'être corrigée devant des inconnus, chez moi. Mais que m'arrive-t-il? Il m'a ensorcelée!".</div>
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Elle prenait soin de bien serrer les jambes, afin de ne pas dévoiler à ces inconnus son intimité, déjà bien humide. Etait-ce l'effet de l'incongruité de la situation ?</div>
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La punition fut longue et cuisante, suivie par un intérêt non dissimulé par Lise et Patrick qui s'étaient rapprochés l'un de l'autre et ne perdaient pas une miette du spectacle. Quand enfin, le cul de la fautive prit une magnifique et uniforme couleur rouge, Thomas le recouvrit pudiquement de ses tissus et réinstalla Amandine à côté de lui.</div>
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"Et bien ! Pour une belle fessée, c'était une belle fessée !", commenta Lise, ravie. "Je trouve que tu ne fais pas preuve de beaucoup de solidarité féminine", lui rétorqua Patrick. "C'est le moins que l'on puisse dire", renchérit Amandine. "C'est même assez choquant, une telle insensibilité devant le malheur d'une de vos congénères", ajouta Thomas.</div>
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Devant ces trois visages réprobateurs, Lise comprit qu'elle ne pouvait s'opposer à l'inévitable, et se laissa à son tour renverser sur les genoux de son homme. Patrick commença à la fesser sur sa jupe, mais avec une force qui augurait d'un cuisant moment pour sa moitié. Il continua sur la culotte, et quand enfin, il la baissa, le popotin était déjà bien rouge! Amandine et Thomas avaient l'impression d'assister à une scène de Shadowlane... Quand la correction continua sur les fesses nues, ce fut très impressionnant, car la main de Patrick couvrait à chaque claque la totalité de la croupe. Si Amandine s'était contentée de gémir sous les coups, Lise, elle, criait franchement, et on la comprenait ! </div>
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Enfin, à son tour, elle fut rhabillée et réinstallée sur le canapé. Les quatre nouveaux amis se regardèrent en souriant, les joues des femmes rougissant légèrement. Soudain, tous éclatèrent de rire. </div>
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(A suivre)</div>
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Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com19tag:blogger.com,1999:blog-6862014297192602744.post-24514733597059133172016-11-15T21:15:00.000+01:002016-11-15T21:41:42.362+01:00La discipline du jeu<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcbdlWiXfFCbGkTIOaeGyx-J5-A-UgV1tqNGyV-VZrkUkuLNGHamrhuuJVgggCxBcmYQZZRLgeDmRwxPOtiJiQm4EFqacDWL7vjekK9gOubzxGzixKvLtl1jyThy8ILvsdTupwK7MK814/s1600/discipline+du+jeu.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcbdlWiXfFCbGkTIOaeGyx-J5-A-UgV1tqNGyV-VZrkUkuLNGHamrhuuJVgggCxBcmYQZZRLgeDmRwxPOtiJiQm4EFqacDWL7vjekK9gOubzxGzixKvLtl1jyThy8ILvsdTupwK7MK814/s400/discipline+du+jeu.jpg" width="400" /></a></div>
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Je me promenais le long de la plage lorsqu'une pensée me traversa. Le temps de prendre une photo et d'envoyer un court message, les dés étaient lancés...</div>
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« Nous y jouerons ce week-end, à toi d'en inventer les règles… ». </div>
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Allait-il mordre à l'hameçon? Allait-il prendre plaisir, ressentir de l'excitation, à cette perspective? Saurait-il transformer ce loisir familial plutôt plan-plan en un jeu érotique? </div>
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Je souriais, persuadée qu'il allait s'en sortir haut la main, après les bougonnements d'usage qui ne manquèrent pas d'arriver... </div>
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- J'ai plein de boulot et tu m'en rajoutes !</div>
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- Tu as 2 heures de train pour arriver. Profites-en…</div>
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Le dimanche venu, il me fallut faire face à une grosse déception. Il pleuvait ! Impossible de jouer à l'extérieur dans ces conditions. Il me proposa d'aller au casino en échange, mais les jeux d'argent ne me sont d'aucun intérêt et je trouve ces lieux particulièrement sinistres. Tous ces petits vieux, tels des morts vivants, dilapidant leur retraite dans les machines à sous, très peu pour moi ! Mais lui, il aime ça, alors...</div>
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- Tu ne joues pas plus de 20 euros et on s'en va, d'accord ? </div>
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Il a acquiescé, mais bien sûr il a joué beaucoup plus. Quel plaisir pouvait-il prendre à perdre cet argent en à peine quelques minutes, juste en appuyant sur un bouton? Je n'arrivais pas à le comprendre, tout comme je n'arrivais pas à le convaincre de ne pas jouer plus que ce que l'on avait fixé.</div>
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Si les rôles avaient été inversés, j'aurais reçu pour cela une monumentale fessée… et ça ne m'aurait certainement pas déplu. Mais dans ce cas précis, c'était à moi d'œuvrer. Garce de pluie ! </div>
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Le lendemain, le soleil avait repris possession des côtes normandes et c'est avec grand plaisir que je le lui annonçais. Nous allions enfin pouvoir jouer au mini-golf ! Je le reconnais, ce jeu n'est pas très excitant en soi, mais il devait en réinventer les règles…</div>
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Il m'expliqua alors que le perdant aux points recevrait autant de coups de tapette en bois que de points marqués, que le perdant en nombre de parcours remportés recevrait cinq coups de ceinture par parcours perdus, et que, comme le véritable perdant était normalement celui qui perdait aux points, ce dernier recevrait une fessée à la main de la part du gagnant, aussi sévère qu'il le jugerait bon. </div>
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Je frissonnais car, aussi curieux que cela puisse paraître, je n'avais jamais joué au mini-golf alors que lui avait l'habitude d'y emmener ses enfants. Dans mon esprit, il n'y avait pas vraiment de suspens sur le nom du gagnant, mais qui sait, la chance des débutants… </div>
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Le mini-golf où nous allions est un endroit très agréable, situé en bord de mer. On peut y admirer l'océan, le château, les hôtels particuliers du front de mer… Le week-end, il y a habituellement beaucoup de monde, mais nous étions lundi et l'endroit était plutôt calme. Quelques personnes étaient attablées au bar, sans doute des amis du patron, mais personne ne jouait ce qui nous laissait toute liberté pour nous taquiner sur le parcours. </div>
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Comme prévu, je fus très rapidement distancée. Il savait jouer et ne me laissait aucun espoir de combler mon retard. C'était assez frustrant et finalement pas si amusant que je l'espérais, aussi décidais-je d'y mettre un peu de piquant en falsifiant le tableau des scores. Ma ruse était grossière : un petit 1 placé devant un 2 me permettait de rattraper dix points d'écart, mais cet artifice était facilement décelable puisqu'en aucun cas un parcours ne pouvait dépasser 8 points! Je ne m'attendais pas à ce que cette rouerie reste inaperçue, je voulais juste tester sa réaction. Je lui tendis le papier des scores et attendis, amusée, puis un peu déçue puisqu'il regarda plusieurs fois le document sans rien ne voir! Arrivés à mi-parcours, alors qu'il s'apprêtait fièrement à y inscrire un score aussi petit que désespérant, je le vis réfléchir, froncer les sourcils et se précipiter sur moi. De belles claques, mêlées à mes éclats de rire, firent vibrer les embruns... Le jeu devenait enfin amusant ! </div>
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- Si tu recommences, je soulève ta jupe ! </div>
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Une fessée sur ma culotte, voilà qui était tentant ! Mais j'hésitais… Je jouais à domicile et je craignais que quelqu'un qui me connaisse dans ma vie professionnelle ne puisse nous voir. Je marchais sur une ligne invisible, allais-je franchir le pas et le provoquer, ou rester sage? Finalement, et j'ai grande honte de l'avouer, je me suis dégonflée et me suis tenue sage jusqu'à la fin du parcours. Mais l’idée que je pouvais le provoquer suffit à m'amuser et me rendre le jeu plus palpitant ! </div>
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Rentrés à la maison, il me fallut payer le prix de ma défaite : 82 coups de tapette en bois, 60 coups de ceinture et une monumentale fessée à la main. J’avais déjà reçu un grand nombre de fessées durant tout le week-end et je me demandais, perplexe, comment j'allais pouvoir encore encaisser tout cela… mais je le fis... avec énormément de plaisir !!!</div>
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Depuis ce jour, mes fesses frissonnent toujours lorsque je me promène en bord de mer. Le bonheur tient à si peu !</div>
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Amandinehttp://www.blogger.com/profile/17918988307425514822noreply@blogger.com15